Les vendeurs à la criée vont-ils sauver les quotidiens de la débâcle ?

Publié le 09/09/2008 à 00:00

Les vendeurs à la criée vont-ils sauver les quotidiens de la débâcle ?

Publié le 09/09/2008 à 00:00

Par Olivier Schmouker

Les Parisiens peuvent ainsi se procurer, sur le chemin du travail, Le Figaro, Libération, Les Echos, La Tribune et autres L'Equipe. Ils peuvent aussi les acheter à la volée en fin de journée, en particulier Le Monde, qui paraît dans l’après-midi en France.

Le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) est à l'origine du projet. Il entend ainsi lutter contre la baisse continue des ventes des quotidiens en France.

«À chaque fois qu'on les interroge, les gens nous disent : «J'aimerais bien lire la presse, mais je n'arrive pas à la trouver», dit Denis Bouchez, le directeur du SPQN.

«Il faut se placer sur le chemin des gens, ne pas les obliger à faire 100 mètres de détour par rapport à leur trajet quotidien. Les gratuits l'ont parfaitement compris», ajoute-t-il.

Une expérience pilote est menée depuis mars dans certaines gares de banlieue de Paris. Résultat : chaque vendeur à la criée vend quotidiennement entre 100 et 300 exemplaires par jour. Une réussite que le Syndicat entend maintenant généraliser au métro.

Avec AFP.

À la une

Ă€ surveiller: Microsoft, Apple et Dollarama

Que faire avec les titres de Microsoft, Apple et Dollarama? Voici quelques recommandations d’analystes.

La SAQ rapporte une autre baisse de son bénéfice net

La SAQ n’a pas caché que la «légère décroissance» observée lors des trois derniers trimestres pourrait se poursuivre.

BRP a connu une baisse de ses revenus et de ses profits au quatrième trimestre

Le fabricant de Ski-Doo et Sea-Doo a rapporté jeudi un bénéfice de 188,2 M$, ou 2,46 $ par action.