(Photo: 123RF)
Un vaccin à base d’ADN semble avoir protégé des macaques rhésus d’une infection par le coronavirus.
Des vaccins de ce genre stimulent les cellules à produire un pathogène ou ses composantes, suscitant une réponse immunitaire.
Des chercheurs de Harvard ont développé six vaccins à partir de la protéine de spicule du SRAS−CoV−2, puis les ont injectés à des singes.
La réponse d’anticorps constatée chez les animaux était comparable à celle vue chez les macaques et les humains ayant survécu à une infection par le virus.
Les singes vaccinés à qui le coronavirus a ensuite été injecté n’ont présenté que des symptômes bénins.
La multiplication du virus a aussi été moindre chez eux que chez les animaux non vaccinés, possiblement parce que leur système immunitaire était davantage en mesure de freiner la progression de l’envahisseur.