L'Italie de nouveau menacée par la crise

Publié le 04/02/2013 à 09:35, mis à jour le 04/02/2013 à 09:49

L'Italie de nouveau menacée par la crise

Publié le 04/02/2013 à 09:35, mis à jour le 04/02/2013 à 09:49

Les élections des 24 et 25 février pourraient remettre en cause la précaire stabilité du pays. Outre le retour médiatisé de Silvio Berlusconi sur la scène politique nationale, les élections générales italiennes ont de quoi inquiéter les observateurs internationaux.

Les efforts mis en place par l'ancien gouvernement de Mario Monti pourraient, en effet, être réduits à néant.

Après la démission de Mario Monti le 21 décembre dernier et la dissolution du Parlement le 22 décembre, les Italiens sont appelés aux urnes les 24 et 25 février prochains. Ils devront élire les 630 représentants de la Chambre des députés et les 315 représentants du Sénat de la République, pour un mandat de 5 ans.

« L'économie italienne est l'une des moins performantes des pays développés ces dix dernières années », souligne le rapport « Repères géopolitiques » de la Financière Banque Nationale. Selon le document, « les prochaines élections prévues pour les 24 et 25 février ajoutent un risque géopolitique aux difficultés économiques pressantes de l'Italie. La colère de l'électorat nourrie par la récession et les fortes hausses d'impôts pourraient sonner le retour des gouvernements de coalition éphémères et complexes qui ont dominé la scène politique italienne pendant des décennies ».

À la une

Bourse: d'excellents rendements grâce aux «5 magnifiques»

BALADO. Microsoft, Nvidia, Amazon, Alphabet et Meta Platforms ont généré 40% des gains du S&P 500 au premier trimestre.

La moitié des Canadiens soutiennent l’interdiction de TikTok, selon un sondage

Le Canada a ordonné son propre examen de la sécurité nationale au sujet du réseau social TikTok.

La Banque Royale du Canada confirme qu’elle a fait l’acquisition de HSBC

En vertu de cette transaction, 4500 employés de HSBC Canada migreront vers RBC.