Même avec un accès à de nouvelles données, comme les déplacements des particuliers et des avions, émettre...
Même avec un accès à de nouvelles données, comme les déplacements des particuliers et des avions, émettre des prévisions sur les prix du pétrole est devenu une opération de plus en plus difficile pour les analystes, constate le Wall Street Journal. À preuve, l’écart entre les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) est deux fois plus élevé qu’en 2019, à 1,3 million de barils par jour, note le quotidien. La pandémie a rendu difficile d’anticiper les comportements des agents économiques, explique Keisuke Sadamori, directeur de la recherche de l’AIE.