Faire faillite sans tout abandonner, même l'espoir

Publié le 13/03/2013 à 19:12, mis à jour le 11/10/2013 à 08:14

Faire faillite sans tout abandonner, même l'espoir

Publié le 13/03/2013 à 19:12, mis à jour le 11/10/2013 à 08:14

Déclarer faillite, c’est reconnaître un échec, mais aussi chercher à tirer un trait sur son passé en espérant pouvoir repartir à zéro. C’est aussi la solution de dernier recours, qui comporte des conséquences sérieuses pour son dossier de crédit, entaché pour au moins 6 ans.

Et ce stigmate double en cas d’une deuxième faillite, alors que les traces demeurent pendant 14 ans ! On comprend alors le désespoir qui envahit Nathalya, dont on présente l’histoire dans l’épisode courant de Déficit Zéro, et qui va tout faire pour trouver une autre option en mesure de l’aider à régler ses dettes récurrentes sans qu’elle ne s’enfonce davantage.

Au Québec, on a compté 29 620 faillites en 2010, près de 30 % de toutes celles qui ont été déclarées au Canada, donc plus du ratio de la population québécoise.

Et on ne se résout pas toujours à faillir du fait d’immenses dettes : Nathalya, probablement mal conseillée à cette époque, ne devait que 11 000 dollars lorsqu’elle déposé sa première faillite, l’essentiel étant dû à des prêts étudiants. Aurait-elle pu faire autrement ? Peut-être, mais encore faut-il savoir ce qu’il en retourne.

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