Ainsi, les profits du groupe qui publie l’hebdomadaire éponyme ont augmenté en un an de 18%, à 37,9 millions de livres sterling (71,1 millions de dollars). La diffusion mondiale de The Economist a, elle aussi, augmenté, de 6,4%, à 1,39 million d’exemplaires, entre juillet et décembre 2008, c’est-à-dire au plus fort de la récession.
C’est aux Etats-Unis que la progression du magazine a été la plus forte, à raison de 9,2%, à 787 000 exemplaires en moyenne, de juillet à décembre derniers. L’édition de Noël a même dépassé la barre symbolique des 900 000 exemplaires.
Côté publicité, les recettes ont également progressé, de 29%.
Quant au site Web Economist.com, le nombre de pages consultées a crû de 53%.
Avec AFP.