Silvio Berlusconi a évoqué un rapprochement commercial possible avec l'une ou l'autre des deux compagnies et a assuré qu'il n'avait pas de préférence, a-t-on appris de même source, sa priorité immédiate étant d'assurer la survie de la compagnie italienne.
Pour l'avenir, "les choses sont ouvertes", a rapporté cette source, sous couvert de l'anonymat.
Nicolas Sarkozy n'est lui pas intervenu sur ce dossier, afin de ne pas interférer avec la politique de la direction d'Air France, assure l'Elysée.