Perte d’une personne clé : 4 étapes pour réduire vos risques

Publié le 15/11/2019 à 00:05

Par Sun Life

Votre PME a de la chance : elle compte actuellement sur la représentante la plus performante de l’industrie ! Elle génère à elle seule plus de 35 % de vos ventes grâce à son réseau de contacts bien établi. Mais qu’arriverait-il à votre société si votre représentante devait cesser de travailler pour cause de maladie ou d’invalidité, ou si elle décédait subitement ? Quatre étapes permettent de réduire vos risques dès maintenant.

1- Identifier vos collaborateurs essentiels
Une personne clé est un employé dont l’apport est vital au bon fonctionnement de l’entreprise. « Si vous comptez au moins dix employés dans votre organisation, il est certain que l’un de ceux-ci est un collaborateur indispensable », dit Charles Quirion, conseiller en sécurité financière et représentant en épargne collective partenaire de la Sun Life. Rédigez la liste des responsabilités que vous lui avez confiées au cours des dernières années. Vous constaterez qu’elle risque d’être longue !

« Et si cette personne clé est plutôt l’un de vos coactionnaires ou l’un des fondateurs de la PME, la pérennité de l’entreprise pourrait même être en jeu dans l’éventualité d’une absence prolongée », renchérit à son tour Jean Turcotte, directeur du groupe fiscalité, assurance et gestion de patrimoine à la Sun Life.

2- Analyser vos besoins avec soin
Votre conseiller en sécurité financière détient les connaissances requises pour réduire les risques associés à la perte d’une personne clé. Et, à cet effet, l’assurance pour collaborateur essentiel s’avère une solution optimale pour les propriétaires d’entreprise. « Une analyse des besoins financiers est indiquée pour déterminer la solution optimale à envisager. L’objectif est de colmater les brèches avant que n’arrive un impondérable », explique Charles Quirion.

Jean Turcotte rappelle qu’il y a trois tableaux sur lesquels doit porter votre réflexion. « La maladie grave, l’invalidité et le décès sont tous des scénarios à soupeser lors de l’analyse des besoins. » Qu’arriverait-il si l’un de vos coactionnaires devait cesser de travailler en raison d’un cancer ? « De là l’importance de pouvoir compter sur les protections appropriées et d’avoir une convention entre actionnaires en bonne et due forme », ajoute celui qui détient aussi le titre d’avocat.

Si un évènement couvert par le contrat d’assurance maladies graves (AMG) survenait, à titre d’exemple, votre PME, en tant que bénéficiaire du contrat, recevrait l’indemnité prévue. Votre entreprise pourrait alors utiliser le montant de l’assurance à sa guise pour compenser les pertes encourues et les dépenses supplémentaires à assumer.

3- Évaluer les pertes potentielles
« Quelles sont les pertes financières que vous pourriez subir dans l’éventualité d’une absence de votre collaborateur essentiel ? », questionne ainsi Charles Quirion. Parfois, la facture peut être substantielle. « Le capital humain est l’un des piliers de la rentabilité de votre PME », renchérit-il.

Si votre collaborateur essentiel doit s’absenter pour un certain temps, vous devrez appeler un remplaçant à la rescousse. Or, dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, le processus de recrutement risque d’être long. Non seulement devrez-vous peut-être faire appel à une agence de placement pour pourvoir le poste, mais il vous faudra aussi assumer les frais de formation inhérents à cette embauche.

Ne négligez aucun élément susceptible d’alourdir votre fardeau financier. « Perdrez-vous des contrats ou la confiance de votre banquier ? Vos rentrées d’argent seront-elles suffisantes pour traverser la tempête ? », questionne ensuite Jean Turcotte. Une fois cette évaluation des pertes potentielles terminée, il est aisé de considérer les bonnes protections à sélectionner. Vous constaterez alors que le coût des primes ne représente qu’une fraction des dommages financiers qui pourraient survenir autrement…

L’entreprise en démarrage ou en pleine croissance a évidemment des besoins de liquidités importants. Elle doit souvent faire des choix. « Adoptez l’approche des petits pas et allouez immédiatement un premier budget pour combler les lacunes les plus urgentes identifiées par votre conseiller à l’étape précédente », suggère Charles Quirion. Vous pourrez ensuite, année après année, venir bonifier les protections que vous avez choisies.

4- Retenir vos talents
Une discussion avec un conseiller certifié en assurance et rentes collectives pourrait aussi vous aider à mettre sur pied une stratégie de rétention de la main-d’œuvre. Vous pourriez par exemple offrir à votre employé clé des protections bonifiées dans le cadre de son régime collectif, pour l’inciter à demeurer au sein de l’entreprise le plus longtemps possible.

N’attendez pas que votre bras droit suscite l’intérêt d’un compétiteur et en vienne lui-même à faire des démarches pour améliorer son sort. « Révisez annuellement avec votre conseiller de confiance les protections offertes à vos employés », concluent les deux invités.

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