La réputation du MBA de HEC Montréal n’est plus à faire, en particulier aux yeux des employeurs. Lorsqu’ils recherchent un gestionnaire formé aux enjeux de l’heure, le prestigieux diplôme est un véritable sceau de qualité.
Plus qu’un diplôme, l’aventure MBA transforme en profondeur les professionnels qui s’y engagent. À travers son riche enseignement, les futurs gestionnaires sortent de leur cœur d’expertise pour prendre de la hauteur.
« Le MBA de HEC Montréal offre une vision transversale de l’entreprise et de ses différentes fonctions : marketing, logistique, ressources humaines, finance, ou comptabilité, explique Pape Wade, chef de la direction et cofondateur d’Airudi, une start-up offrant une solution intelligente en gestion des ressources humaines.
Recruter un profil MBA pour accélérer sa croissance
Intégrer un diplômé du MBA dans ses équipes, c’est se doter de tous les leviers humains et économiques pour franchir de nouvelles étapes de croissance. « Les diplômés du MBA ont appris à créer de la valeur », soutient Pape Wade, qui a fait carrière en ressources humaines. En embauchant un diplômé du MBA, les entreprises savent qu’elles s’associent à un gestionnaire multipotentiel, de haute volée, prêt à affronter les mutations actuelles du marché. « À un haut niveau de responsabilité, mieux vaut recruter un gestionnaire qui a plusieurs cordes à son arc », ajoute-t-il.
Le MBA est un cursus exigeant, qui demande un investissement personnel important. Les recruteurs le savent, et cette capacité d’engagement se lit entre les lignes du curriculum vitae des diplômés. « Un tel bagage démontre que la personne s’implique à 100 %, qu’elle est particulièrement motivée et prête à repousser ses limites », indique M. Wade.
En outre, l’employeur peut compter sur les liens précieux que forgent ces gestionnaires sur les bancs de HEC Montréal. « C’est un réseau de gens très solidaires, à l’écoute, qui veulent donner le coup de main nécessaire, que ce soit en termes de conseils ou de contrats », souligne Pape Wade.
Miser sur des talents à valeur ajoutée
Avec la pénurie de main-d’œuvre que traverse la province, le MBA donne un signal clair aux entreprises désireuses de recruter les meilleurs talents au Québec « Plus qu’une pénurie, on assiste à une guerre des talents, souligne M. Wade. Ce sont ces profils d’exception qu’il faut aller chercher pour propulser l’entreprise vers de nouveaux horizons. »
D’ailleurs, toutes les tailles d’organisation ont avantage à recourir à ces candidats. « En grande entreprise, les diplômés du MBA font une différence claire. Ils peuvent renforcer le positionnement de l’organisation en assurant sa relève et en élargissant sa vision d’affaires », précise le chef d’entreprise. Et dans une start-up, ils peuvent donner un véritable coup d’accélérateur. « Le MBA donne le temps, de façon structurée, d’élaborer une stratégie, explique-t-il. Il offre également les outils pour créer des alliances, trouver des partenaires et mettre en place une entente gagnante. »
Préparer l’avenir
Dans un contexte de mondialisation, les entreprises doivent nécessairement s’ouvrir à la libre circulation des talents, des savoirs, et des affaires. L’enseignement international dispensé par le MBA les aide à embrasser cette réalité.
« Le bagage MBA permet d’être agile et de s’asseoir avec des clients étrangers », note Pape Wade.
La transformation numérique actuelle requiert de tels profils, soucieux d’aller toujours de l’avant. Pape Wade mentionne notamment l’apport unique du Creative Destruction Lab, un programme visant à développer et valoriser des entreprises technologiques à fort potentiel de croissance et auquel les étudiants au MBA ont l’occasion de participer « Ce genre d’initiative met les étudiants au cœur d’un bouillonnement d’innovation, dont ils font bénéficier les entreprises en retour. Le MBA prépare les équipes de demain au travail de demain et à la collaboration de demain. Et demain, c’est maintenant ! », conclut-il.
