Des pièges à éviter

Publié le 02/03/2013 à 00:00

Des pièges à éviter

Publié le 02/03/2013 à 00:00

Les besoins d'externalisation varient selon le contexte des entreprises et leur volume d'activité. Une des principales tendances consiste à favoriser la souplesse. Chadi Habib, chef des technologies et vice-président exploitation et infrastructures au Mouvement Desjardins, a particulièrement insisté sur ce point lors de sa présentation.

«Dans les contrats d'impartition, il est très important de prévoir la possibilité d'évolution», a-t-il répété. Les nouveautés, dans les TI, sont constantes. Un contrat trop étriqué pourrait empêcher des ajustements nécessaires pour que l'entreprise reste à la pointe dans ce domaine.

Dans de bonnes conditions, l'impartition est un atout pour l'entreprise, voire un passage obligé. Cependant, attention aux pièges ! «Il peut y avoir des échecs», met en garde Nathalie Gosselin, directrice générale du CRIM : insatisfaction du client, tensions qui peuvent mener à une rupture de contrat, changement de fournisseur, même une poursuite devant les tribunaux ou le recours à un médiateur pour régler un conflit. Pour les éviter, le client doit suivre le contrat d'impartition de près.

Les maîtres mots : la gouvernance et l'engagement de l'entreprise auprès de son fournisseur, considéré comme un partenaire d'affaires. «Attention de ne pas perdre le contrôle, de devenir dépendant et d'impartir des activités qui font partir du coeur de l'entreprise», met en garde Lucie Grenier, vice présidente, technologies de l'information du Groupe St-Hubert.

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