L.A. - Comment redorerez-vous votre image auprès des jeunes ?
S.P. - Nous avons lancé, l'an dernier, un site Web (lavenircasefabrique.com). Nous aurons d'autres initiatives cette année sur Internet et sur les réseaux sociaux. Il faut que les jeunes sachent que c'est intéressant de travailler dans une entreprise manufacturière. En plus, c'est payant. Par exemple, dans le secteur de la transformation alimentaire, il y a une pénurie de vice-présidents pour gérer des usines. Il faut des études en génie, une maîtrise ou un MBA. Ces postes sont payés de 250 000 à 300 000 $ par an. Or, certaines entreprises ne parviennent pas à les combler.