Une approche oblique est toujours plus efficace qu'une approche directe. Photo : DR.
BLOGUE. Vous comme moi, vous avez des idoles (même si vous ne voulez pas trop l’avouer…). Un acteur (Sean Penn?), un écrivain (Gabriel Garcia Marquez?), un sportif (Olivier de Kersauson?), un penseur (Jacques Attali?), que sais-je encore? Ces idoles vous font rêver parce qu’elles connaissent du succès dans ce qu’elles font, et vous aimeriez bien, un jour, connaître un destin similaire, ou du moins une grande notoriété, inspiré de leurs faits et gestes. Pas vrai?
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Eh bien, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Si c’est le succès qui vous intéresse, jamais, au grand jamais, vous ne le connaîtrez. Pourquoi? Parce que si vous en faites un but premier, il n’y a que très très peu de chances que vous l’atteignez. Voire aucune. Et ce, parce qu’on ne rencontre vraiment le succès que de manière indirecte, pour ne pas dire «oblique». C’est ce que j’ai appris en lisant le passionnant Obliquity – Why our goals are best achieved indirectly de John Kay.