Commerce électronique: ce n'est pas tout de vendre, il faut livrer!

Offert par Les Affaires


Édition du 25 Octobre 2014

Commerce électronique: ce n'est pas tout de vendre, il faut livrer!

Offert par Les Affaires


Édition du 25 Octobre 2014

Une fois reçus, les vêtements sont sélectionnés en fonction de divers critères (marque, propreté, usure, etc.). Pour chaque vêtement choisi, un minimum de 20 % de la valeur de revente sera remis à l'envoyeur en crédits-magasin. Ce qui n'est pas gardé, soit environ la moitié des envois, est remis à des organismes de charité.

Le défi pour Isabelle Doucet est de traiter rapidement la marchandise. Elle y est arrivée grâce à un solide programme informatique maison, permettant aux employés de mettre en ligne 300 morceaux chacun, quotidiennement. «Ça a été long à développer, mais c'est hyperefficace», dit Isabelle Doucet.

Le site offre une livraison gratuite pour tout achat de 50 $ et plus. En bas de 50 $, l'acheteur doit assumer des frais fixes de 10 $. Résultat : la moyenne des achats faits sur le site est de 56 $ ! Les clients ont 30 jours pour retourner les vêtements réguliers, et 24 heures dans le cas des vêtements déposés en consigne chez Minitrade. Les commandes de plus de 10 $ sont remboursées en crédits-magasin.

Les ventes se font pour l'instant au Québec. «Avant de regarder vers l'international, nous allons nous assurer d'être solides.»

Minitrade, du couple Isabelle Doucet et Malik Yacoubi, mise sur une logistique rigoureuse.

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