Risques psychosociaux: une entreprise québécoise mise sur le développement des compétences relationnelles!
Boostalab|Mis à jour le 12 juin 2024En septembre 2021, le gouvernement québécois mettait en place le projet de loi 59 (maintenant appelé loi 27) visant à moderniser le régime de la santé et de la sécurité au travail. L’intention derrière cette loi était d’encourager la prévention des accidents pour créer des environnements de travail plus sécuritaires.
D’ici 2024, les entreprises québécoises devront inclure l’analyse des risques psychosociaux liés au travail pouvant avoir une incidence sur la santé des travailleuses et des travailleurs à leur démarche de prévention ou dans leur plan d’action.
Parmi les différents risques psychosociaux, on retrouve notamment:
● le manque de reconnaissance
● la gestion de la charge de travail
● le manque de sécurité psychologique
● le harcèlement psychologique
● le manque de sentiment d’appartenance…
Passer de l’analyse à l’action
Le vrai défi des entreprises ne réside pas tellement dans l’étape de l’analyse des risques plus que dans celle de poser des actions concrètes pour prévenir et régler à la source les facteurs de risques.
En affaires depuis 2016, l’entreprise québécoise Boostalab se spécialise dans la création de contenu de formation qui propulse le développement des compétences humaines (soft skills). Sa mission: bâtir un monde du travail plus humain et plus performant.
“ Nous constatons que les entreprises québécoises sont de plus en plus conscientes des enjeux liés aux risques psychosociaux. Elles cherchent des solutions simples et efficaces à mettre en place au sein de leur équipe”.
Mélanie Lambert, cofondatrice
Une approche pratico-pratique
Pour chaque risque identifié, les questions à se poser sont les suivantes: sur quels éléments avez-vous du contrôle et comment outiller concrètement vos équipes pour surmonter les risques?
Prenez l’exemple de la charge de travail, un risque psychosocial présent dans plusieurs milieux professionnels. Pour commencer, il est possible d’envisager:
– une analyse de l’environnement de travail
– une clarification des rôles et responsabilités des membres de l’équipe pour tirer profit des forces et intérêts
– une discussion sur ce qui nuit à la gestion du temps et des priorités avec les gens concernés.
Ensuite, comment outiller les équipes afin d’agir sur la charge de travail et réduire ce risque? L’entreprise québécoise mise notamment sur l’utilisation d’outils concrets disponibles à même les thématiques qu’elle développe. Imaginez ici des guides pour passer à l’action en équipe, des autoévaluations, mais aussi, des idées de défis à relever dans le milieu de travail.
Afin de stimuler encore plus l’engagement des personnes apprenantes, Boostalab travaille actuellement la possibilité d’ajouter ce qu’on appelle dans le milieu, de la “gamification” ou selon le terme francophone, de la ludification des apprentissages.
“Nous sommes conscients que l’enjeu #1 des équipes c’est le temps. C’est pourquoi nous développons des microcontenus d’apprentissages simples et rapides à consulter et que nous misons sur le passage à l’action à même le quotidien”.
Mélanie Lambert, cofondatrice
Soft skills et risques psychosociaux, un mélange harmonieux
Boostalab s’est donné le défi, dans les prochains mois, d’aider les organisations à y voir plus clair au travers d’un journal de bord, disponible sur leur blogue, et d’une “roue des risques psychosociaux” qui met en lien les enjeux et les compétences à développer pour y répondre.
Donner accès à des microcontenus simples, mais percutants, avoir des outils pour passer rapidement à l’action, autant de façons efficaces et pérennes pour agir sur les risques psychosociaux dans votre organisation!
Accédez au journal de bord sur les risques psychosociaux: rendez-vous sur le blogue de Boostalab.
Découvrez la roue des risques psychosociaux: télécharger