Depuis 1969, le MBA de HEC Montréal forme des leaders ambitieux, rompus aux meilleures pratiques du milieu des affaires et prêts à faire face aux enjeux de l’heure. Ce prestigieux diplôme a ouvert les portes du succès à plus d’un gestionnaire québécois. Témoignage des ambassadeurs du 50e anniversaire de HEC Montréal.
Qu’ils aient profité de leur MBA pour accéder à des postes de gestion, pour s’ouvrir des portes à l’international ou pour élargir leurs perspectives sur leur propre milieu professionnel, les ambassadeurs du 50e anniversaire de HEC Montréal ont tous connu des progressions exceptionnelles après leur passage sur les bancs de la prestigieuse école. Et ils sont loin d’être seuls : le taux de placement est de 91 % après un MBA de HEC Montréal.
Un formidable accélérateur de carrière
Le MBA offre souvent un raccourci vers des postes convoités par les leaders, où ils peuvent diriger de grandes équipes et piloter des projets d’envergure. Marianne Plamondon, devenue associée chez Langlois Avocats très peu de temps après son passage à HEC Montréal, en sait quelque chose. Cette avocate spécialisée en droit de l’emploi et du travail, déjà forte d’une expérience dans un grand cabinet international, a multiplié les possibles en faisant un MBA.
« Je suis devenue plus consciente des enjeux que vivent nos clients, dit-elle. Mais surtout, cela m’a permis de réfléchir à ma carrière, à ce que je souhaitais devenir et ce que je souhaitais accomplir. J’ai utilisé plusieurs enseignements de mes cours de stratégie dans la gestion de ma carrière et cela m’a clairement propulsée. »
Kathleen St-Pierre, aujourd’hui associée au sein de la pratique Capital humain de Deloitte, a aussi décroché son MBA à HEC Montréal en 2003. Après un début de carrière effervescent, qui l’avait amenée à s’illustrer dans un cabinet de service-conseil à Boston, les choses allaient déjà bon train pour elle. Mais son passage à HEC Montréal l’a fait passer à la vitesse supérieure. « Le MBA représentait une occasion de développement dans l’évolution de ma carrière. La formation m’a aidée à gravir les échelons plus rapidement, tout en m’offrant un nouveau regard sur le monde des affaires. »
En plus d’accélérer les ascensions, le MBA entraîne des augmentations salariales rapides. On estime à 28 % l’augmentation salariale moyenne 6 mois après l’obtention du diplôme à HEC Montréal
Des perspectives élargies
« Le MBA m’a donné la confiance et les outils dont j’avais besoin pour trouver des solutions », assure Kathy Baig, présidente de l’Ordre des ingénieurs du Québec. En réalisant un MBA, cette ingénieure au parcours brillant souhaitait pousser ses compétences à un autre niveau et acquérir une vision plus large. L’ingénieure et gestionnaire a accédé à la présidence de l’Ordre en 2016, deux ans après avoir obtenu son diplôme. Ses compétences lui ont permis de relever l’important défi de redresser l’organisation, qui traversait une période houleuse.
Michael Vineberg, président de Portage conseil, a aussi pu envisager sa carrière à une autre échelle grâce au MBA : « J’aborde les problématiques sous des angles nouveaux, et j’ai appris à développer ma pensée critique et ma capacité d’écoute, des compétences essentielles pour exercer un leadership mobilisateur. » Pour lui, le MBA a aussi été le gage d’une carrière diversifiée de chef d’entreprise, d’administrateur et de consultant.
Réussir autour du globe
Basé à Berlin, Eric Prud’Homme n’est pas près d’oublier l’expérience unique qu’il a vécue à HEC Montréal : « Mon passage dans cette grande école de gestion m’a permis de croire en mes ambitions », souligne-t-il. Le responsable mondial des communications externes et des relations publiques chez Bombardier Transport a su utiliser les outils acquis au MBA pour travailler au sein de grands réseaux internationaux. Le cursus, internationalement reconnu, a représenté une valeur sûre pour établir sa réputation sur le continent européen.
C’est aussi grâce au MBA qu’il a pu faire fructifier et reconnaître des compétences acquises au fil d’un « parcours atypique ». Nombreux sont ceux, qui, comme lui, utilisent le MBA pour consolider des expériences riches et diversifiées.
Se distinguer dans l’adversité
Même lorsque le marché de l’emploi n’est pas favorable, les diplômés du MBA demeurent recherchés. Amir Karim, président et directeur général de Polykar, peut en témoigner. « Au moment de ma graduation, en 1992, le pays était en pleine récession. Le fait d’avoir un MBA m’a permis de me démarquer sur le marché du travail malgré la situation économique difficile. »
C’est sans compter le réseau de contacts qui s’ouvre aux diplômés du MBA. Car en plus de les propulser vers de nouveaux sommets, HEC Montréal les fait entrer dans une grande famille professionnelle tissée serrée.