Le plan vise à racheter une partie des mauvaises créances hypothécaires des institutions financières américaines.
À Toronto, le S&P/TSX a atteint un sommet de 11 356 en fin de matinée mais a terminé la journée en recul de 97 points (0,89%) à 10 803. Les secteurs des financières et de l’énergie ont alimenté le déclin.
Le Dow Jones, a perdu 157 points (-1,5%) à 10 325 alors que le S&P/500 a chuté de 15 points (1,35%) à 1 099.
De son côté, le Nasdaq a reculé de 29 points (1,48%) à 1 947.
«Ce fut une semaine éprouvante pour toutes les commodités sur les marchés boursiers, tant au Canada qu’aux États-Unis. Comme le marché canadien est plus exposé aux commodités, il est normal qu’il ait écopé davantage», explique Charles Huot, directeur-général actions institutionnelles chez BMO Marchés des capitaux.
Ce dernier ajoute que les marchés ont changé de cible: «la question n’est plus de savoir quelle entreprise va s’effondrer, mais bien de tenter de prévoir si l’économie mondiale va être capable de générer un semblant de croissance ou simplement sombrer en récession», dit-il.
Dans ce contexte, M. Huot n’est pas surpris par la bonne tenue des financières, plus solides en temps de récession que la demande pour les commodités. «Cette semaine à Toronto, l’indice S&P/TSX a perdu 10% alors que le recul a été moins prononcé du côté américain. Cela reflète parfaitement la notion de risque accolée aux commodités», dit-il.
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