Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Publié le 04/09/2020 à 14:39

Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Publié le 04/09/2020 à 14:39

Par lesaffaires.com

(Photo: Getty images)

Quels titres boursiers et rapports d'analystes ont retenu l'attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

31 août

Dans les Titres en action:

 

  • Le géant suisse de l’alimentation Nestlé (NESN, 109,18CHF) va lancer une offre publique d’achat pour racheter le spécialiste américain des allergies Aimmune Therapeutics, valorisé à 2,6 milliards de dollars, a-t-il annoncé lundi.  Nestlé, qui détient déjà une participation de 25,6 % dans l’entreprise californienne, va proposer à ses actionnaires 34,50 dollars par action, ce qui représente une prime de 174 % par rapport au cours de clôture d’Aimmune le 28 août 2020, a-t-il indiqué dans un communiqué.
  • Le Canada a signé un accord de principe avec la biotech américaine Novavax (NVAX, 108,53$US) afin de s'assurer 76 millions de doses de son projet de vaccin contre le Covid-19 en cas d'efficacité prouvée, selon un communiqué publié lundi. Les doses du projet NVX‑CoV2373 de Novavax, qui vient de débuter des essais de phase 2, pourraient être livrées au deuxième trimestre 2021 si le vaccin voit le jour. «Nous sommes heureux d'annoncer cet accord avec Novavax, qui donnera accès aux Canadiens à un candidat vaccin prometteur contre la COVID-19», a expliqué la ministre canadienne des Services publics et de l'Approvisionnement, Anita Anand, citée dans le communiqué. 
  • L'entreprise américaine de télécommunications CenturyLink (CTL, 10,91$US) a connu dimanche une panne de réseau de plusieurs heures affectant des sites web, des plateformes de streaming et de jeux vidéos aux États-Unis et en Europe. «Le 30 août, des clients dans différents marchés internationaux ont été touchés par une panne à travers notre réseau», a affirmé la société contactée par l'AFP. «Nous pouvons désormais confirmer que tous les services ont été restaurés», a dit CenturyLink. Selon le site Downdetector, la panne a duré plus de cinq heures.

 

 

À surveiller

Boralex (BLX, 33,02$): de nouveaux capitaux qui rassurent. Boralex a complété un influx de nouveaux capitaux totalisant 201 millions $, après une émission de 6,1 millions de nouvelles actions à 33,10$ chacune. La société spécialisée dans l'énergie renouvelable se dégage ainsi une marge de crédit et pourra financer ses projets au moins jusqu'à la fin 2022. Ça comprend entre autres un parc d'éoliennes en France. Ce financement élimine le risque entourant ces projets, ce qui attire les analystes, qui reprennent la couverture du titre de la société énergétique de Kingsey Falls.

 

Dollarama (DOL, 51,83$): payant, le confinement. Les magasins du dollar ont bien fait durant la pandémie et Dollarama devrait refléter cette tendance. Les consommateurs confinés à la maison ont réduit leurs dépenses, ce qui a profité aux détaillants vendant des biens très bon marché. D'ailleurs, le titre de Dollarama a repris de la vigueur rapidement après le début de la crise, à la mi-mars, comme quoi le marché avait plutôt bien anticipé ce changement. «Le modèle d'affaires de Dollarama est résilient et sa position financière est solide, ce qui en fait un bon investissement «défensif».

 

T-Mobile (TMUS, 116,26$US): une ambitieuse percée dans les réseaux 5G. Difficile de prédire qui parmi les grands fournisseurs de services mobiles américains sortira grand vainqueur de la mise en place des réseaux sans fil de prochaine génération, la fameuse technologie 5G, mais la Banque Scotia se mouille: selon elle, le réseau T-Mobile est bien positionné pour gagner des parts de marché, et possiblement rafler la tête de ce lucratif marché. L'analyste Jeff Fan démarre la couverture de T-Mobile en attribuant une cote de «surperformance» à son titre. Il établit son cours cible à 148$US.

 

1er septembre

Dans les Titres en action:

 

  • Le géant des services pétroliers Schlumberger (SLB, 18,68$US) a annoncé mardi qu’il cédait une part de ses activités dans la fracturation hydraulique aux États-Unis et au Canada. L’accord autour de cette activité « OneStim » a été passé avec le groupe américain Liberty Oilfield Services (LBRT, 8,76$US), en échange d’une participation au capital de 37 % dans la société ainsi constituée. La transaction devrait être finalisée d’ici à la fin de l’année. Touché de plein fouet par la crise de l’or noir, Schlumberger a fini les deux derniers trimestres dans le rouge, et annoncé plus de 20 000 suppressions de postes (soit un quart de ses effectifs). 
  • Le constructeur automobile Tesla (TSLA, 483,19$US), qui caracolait en Bourse ces dernières séances, a annoncé mardi son intention de lever jusqu’à 5 milliards de dollars via un vaste programme de vente d’actions, dans un document adressé aux autorités boursières américaines (SEC). Mi-août, le constructeur avait indiqué qu’il allait fractionner son action par cinq à la Bourse de New York pour rendre le titre, l’un des plus élevés de Wall Street, plus accessible aux salariés de l’entreprise et aux actionnaires. 
  • Le groupe américain de supermarchés Walmart (WMT, 142,56$US) a annoncé mardi le lancement d’une offre de livraison gratuite contre abonnement mensuel ou annuel, une initiative destinée à concurrencer directement le géant du commerce en ligne Amazon et son service Prime. Il en coûtera 98 dollars par an ou 12,95 dollars par mois aux clients intéressés par cette prestation, baptisée Walmart+ et disponible à partir du 15 septembre, détaille un communiqué. C’est un peu moins cher que le tarif d’Amazon Prime, de 119 dollars par an ou 12,99 dollars par mois, mais ce dernier inclut aussi l’accès aux services de vidéo et de musique en diffusion en continu d’Amazon.

 

 

À surveiller

Coca-Cola (KO, 49,53$US): la restructuration fera-t-elle mousser le titre? La multinationale des breuvages a annoncé une restructuration majeure dans ses opérations nord-américaines, en coupant 4000 postes et en offrant des mises à la retraite prématurées à 40% de sa main-d'œuvre. Sur les talons de cette nouvelle, Coca-Cola a ensuite procédé à un remaniement de ses opérations afin de gagner en efficacité et pour réduire encore un peu plus ses coûts. Selon les experts, ces économies se chiffreront entre 400 et 500 millions $US pour l'année à venir.

 

Netflix (NFLX, 529,56$US): une embellie qui ne durera pas. Le titre de Netflix a repris plus de 75% de sa valeur depuis le creux de la mi-mars dernier. À un prix avoisinant les 60$US l'action, sa capitalisation est tout simplement trop grande, prévient la firme d'analyse Trefis Research and Data. «À un moment où l'entreprise doit jongler avec une compétition de plus en plus relevée comprenant notamment Disney, AT&T et Comcast (aux États-Unis), l'idée de relever son tarif d'abonnement pourrait s'avérer une bien mauvaise décision.

 

Zoom (ZM, 325,10$US): un trimestre plus gros que l'année dernière au complet. Le créateur du populaire service de conférences vidéo a publié les résultats pour son dernier trimestre, et si les trois premiers mois de son exercice 2020 étaient déjà spectaculaires, ceux du second trimestre le sont encore un peu plus. Ses revenus de 663 millions $US surclassent les 500 millions $US que prévoyaient les analystes, une hausse de 355% par rapport au même trimestre, l'an dernier. À ce stade, Zoom a généré plus de revenus durant les trois derniers mois que durant toute l'année dernière.

 

2 septembre

Dans les Titres en action:

 

  • Le constructeur automobile américain Ford (F, 6,94$US) a fait savoir mardi qu’il comptait supprimer 1 400 emplois aux États-Unis d’ici la fin de l’année dans le cadre d’un vaste programme de restructuration. Dans un mémo interne envoyé aux salariés du groupe et consulté par l’AFP, le président de Ford Amérique du Nord, Kumar Galhotra, explique que l’entreprise est « dans un processus pluriannuel dont le but est de rendre Ford plus compétente et plus efficace à travers le monde ».
  • La Pétrolière Impériale (IMO, 21,01$) a annoncé mercredi avoir interrompu la production de son exploitation minière des sables bitumineux de Kearl, dans le nord de l’Alberta, en raison de la fermeture partielle du pipeline de diluant Polaris à la suite d’un déversement près de Fort McMurray. La société de Calgary a expliqué que ses installations seraient prêtes à redémarrer dès que le pipeline sera de nouveau en service et que l’approvisionnement en diluant sera rétabli, ajoutant qu’elle étudiait d’autres options non précisées.
  • La compagnie américaine United Airlines (UAL, 36,17$), affectée par « l’impact dévastateur » de la Covid-19 sur le transport aérien, a indiqué mercredi qu’elle prévoyait de licencier 16 000 salariés en octobre, sauf si un nouveau programme d’aides était adopté d’ici là au Congrès. « La pandémie nous a atteints plus profondément et plus longtemps que ce que presque tous les experts avaient prévu, et dans un environnement où la demande de voyages reste si déprimée, United ne peut pas continuer avec des effectifs qui dépassent considérablement notre niveau d’activité », écrit le groupe dans un message transmis à l’AFP.
  • Le plan de recapitalisation de 1,2 milliard de livres de Virgin Atlantic (SPCE 17,41$US), qui appartient en partie au milliardaire Richard Branson, a été approuvé par un tribunal britannique mercredi, selon un communiqué de la compagnie aérienne. La compagnie précise qu’une audience suivra aux États-Unis jeudi pour s’assurer que le plan de restructuration est également approuvé aux États-Unis, où elle avait dû déposer le bilan et se placer sous la protection de la loi sur les faillites afin de faire valider cette procédure.

 

 

À surveiller

Empire (EMP, 33,77$): les habitudes alimentaires changent trop vite. Le télétravail et les nouvelles mesures imposées aux restaurateurs mènent de nombreux consommateurs à préférer manger à la maison, ce qui devrait se traduire par une hausse appréciable de l'achalandage pour toutes les enseignes d'Empire, incluant celles qu'on retrouve au Québec, soit IGA, Bonichoix et Bonisoir. Ce virage pourrait s'étirer encore pour plusieurs mois, surtout si la deuxième vague de COVID-19 se concrétise comme le craignent les experts.

 

Nvidia (NVDA, 552.84$US): prêt pour la prochaine génération de jeu vidéo. Le spécialiste des cartes vidéo mettra en marché trois nouveaux produits au courant des prochaines semaines qui s'avèrent à la fois sensiblement plus performants que leurs prédécesseurs, et étonnamment abordables, dans le contexte. Les cartes vidéo GeForce sont déjà reconnues comme parmi les plus intéressantes par l'imposante cohorte de joueurs qui ne jurent que par leur ordinateur personnel. Elles sont aussi appréciées dans des secteurs professionnels où le télétravail pourrait se traduire par une demande accrue pour ses produits. 

 

Alimentation Couche-Tard (ATD.B, 42,80$): un trimestre super sans plomb, mais… Le bénéfice par action ajusté dévoilé par la chaîne de dépanneurs de Laval pour les trois premiers mois de son exercice 2021 a presque doublé les prévisions des analystes, à 0,71$US contre 0,38$US. Ça s'explique simplement: les marges élevées dégagées sur le carburant vendu à ses magasins aux États-Unis sont la principale cause de cette bonne performance, secondée par… les ventes de carburant au Canada et en Europe. Autre surprise: les ventes comparables en magasin ont augmenté dans toutes les régions où Couche-Tard opère.

 

 

3 septembre

Dans les Titres en action:

 

  • Verizon (VZ, 60,36$US) va dépenser près de 1,9 milliard de dollars pour accélérer son déploiement de la 5G, notamment sur les fréquences qui permettent un bon compromis en termes de territoire couvert et de vitesse de la connexion. L'autorité américaine de régulation des communications (FCC) a révélé lundi les gagnants d'une vente aux enchères de licences pour des bandes de fréquences propices à la 5G, la nouvelle génération de téléphonie mobile ultra rapide, censée révolutionner certaines industries.
  • General Motors (GM, 29,29$US) et Honda (HMC, 25,25$US) ont annoncé jeudi conclure une alliance stratégique en Amérique du Nord pour partager les plateformes de véhicules et les coûts de développement. Cette annonce intervient alors que les constructeurs automobiles sont sous pression pour développer des voitures autonomes ainsi que d'autres technologies avancées, dans un contexte de demande incertaine en raison de la récession économique mondiale provoquée par la pandémie de COVID-19. Ce partenariat permettra aux deux groupes de faire des économies grâce au partage des plates-formes de véhicules, des achats ainsi que des dépenses de recherche et développement, ont-ils détaillé dans un communiqué commun.
  • Facebook (FB, 285,05$US) a fermé le compte d'un politicien indien membre du parti du Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi pour avoir, selon le réseau social, diffusé un discours de haine envers les musulmans. T. Raja Singh, un député régional du parti au pouvoir, a «contrevenu à notre politique qui interdit la promotion de ou l'incitation à la violence et à la haine sur notre réseau», a indiqué un porte-parole de Facebook. Raja Singh sera désormais placé par Facebook sur une liste des «individus dangereux», a ajouté le porte-parole.

 

 

À surveiller

Cogeco (CCA, 114,27$): vers une seconde offre bonifiée? L'offre d'achat non sollicitée d'hier par Altice USA et Rogers pour les actifs de Cogeco a fait bondir son titre de 15%, réduisant d'autant la prime offerte par les deux acquéreurs. Gestion Audem, l'actionnaire de contrôle qui représente la famille Audet, a rapidement décliné l'offre, et le marché semble convaincu que l'affaire est close… mais pas Cannacord Genuity. «Nous croyons que cette histoire n'est pas terminée. Une deuxième offre plus élevée est à prévoir», écrit Avarinda Galappathige.

 

Dollarama (DOL, 51,44$): Halloween et Noël inquiètent. Le détaillant québécois a connu un second trimestre au-delà des attentes, avec un bénéfice par action de 0,46$, alors que le marché prévoyait 0,41$. La demande pour des produits saisonniers et des articles pour la maison s'est avérée robuste, probablement aidée par le contexte de confinement entraînant les consommateurs à se concentrer sur des tâches domestiques. Les ventes comparables ont grimpé de 5,4%, mais c'est surtout la valeur moyenne par transaction qui tire les résultats à la hausse, leur valeur moyenne ayant gagné 42% par rapport à la même période, l'an dernier.

 

Alibaba (BABA, 296,07$US): un as dans la manche pour cet Amazon chinois. Le titre du cyberdétaillant chinois a pris plus de 70% en valeur depuis la mi-mars à la Bourse de New York, ce qui est déjà étonnant, mais ce n'est pas fini, croit la firme d'analyse Trefis. Le géant du commerce en ligne faisait déjà bien, avant la crise du coronavirus, mais le virage généralisé vers le magasinage sur Internet, qui a également eu lieu en Chine, où Alibaba fait le plus gros de ses affaires, a contribué à la hausse des revenus de 80% depuis 2018. Sur la période, son bénéfice par action s'est apprécié de 43%.

 

 

4 septembre

Dans les Titres en action:

 

  • Le géant du commerce en ligne Amazon (AMZN, 3141$US), qui a profité d’une demande accrue pendant la pandémie de Covid-19, a annoncé vendredi la création de 10 000 emplois supplémentaires aux États-Unis. Ces postes créés « au cours des prochaines années » sur son site de Bellevue, dans l’État de Washington, s’ajoutent à l’embauche de 15 000 personnes déjà annoncées en février, indique le groupe de Jeff Bezos dans un billet de blogue. 
  • Banque Laurentienne Groupe Financier (LB, 27,26$) a dépassé les attentes en déclarant un bénéfice de 36,2 millions $ au troisième trimestre. La banque basée à Montréal a indiqué que le bénéfice s’est élevé à 77 cents par action diluée pour le trimestre s’étant terminé le 31 juillet, comparativement à un bénéfice de 47,8 millions $, ou 1,05 $ par action, un an plus tôt. Les revenus ont totalisé 248,6 millions $, contre 244,7 millions $ au troisième trimestre de 2019. 
  • L'ensemble des syndicats de Suez (SEV.PA, 15,12 euros) appellent les salariés «quels que soient leurs pays» à arrêter le travail deux heures mardi matin pour marquer leur «détermination à lutter contre le projet d'OPA» du concurrent Veolia, selon un communiqué publié vendredi. «Ce mardi 8 septembre, nous appelons l'ensemble des salariés, quels que soient leurs pays, entités, métiers, à arrêter le travail pendant deux heures de 9H00 à 11H00 heures locales», indique le texte émanant de «l'ensemble de la représentation salariale du groupe Suez». Le groupe compte 90 000 salariés dans le monde, dont 30 000 en France.

 

 

À surveiller

Peloton (PTON, 82,28$US): un élan qui ne s'essoufflera pas. Le service d'exercices pour la maison par abonnement a profité de la pandémie pour faire le plein de nouveaux abonnés confinés à leur maison et curieux de mettre le pied au pédalier de ses vélos stationnaires et autres appareils d'exercice connectés. Ça a évidemment fait bondir ses revenus et, par conséquent, la valeur de son titre.

 

Comcast (CMCSA, 44,44$US): il y a encore des progrès à faire. Le titre du fournisseur américain de services de télécommunication a vu sa valeur grimper de 35% depuis son creux de la fin mars, mais ce n'est pas fini, croit la firme d'analyse Trefis. Il faut dire qu'à un prix légèrement sous les 45$US, son titre demeure sous son sommet d'avant la pandémie, qui avoisinait les 48$US, ce qui laisse croire que la capitalisation de l'entreprise pourrait au moins retourner à ce niveau, mais elle pourrait aussi continuer à monter, ajouter l'agence bostonienne.

 

TFI International (TFII, 57,26$): un oeil sur des proies alléchantes. Le spécialiste montréalais du transport a mis la main sur environ 600 millions $ en capitaux propres depuis le début de l'année, ce qui lui permet de garder l'œil ouvert pour d'éventuelles transactions. Le PDG Alain Bédard et le directeur des finances David Saperstein ont récemment admis que c'était d'ailleurs le plan, et qu'ils considéraient tout particulièrement dans la livraison de petits colis dans des créneaux spécialisés aux États-Unis.

 

 

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