Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Publié le 07/01/2022 à 09:46

Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Publié le 07/01/2022 à 09:46

Par lesaffaires.com

(Photo: Getty Images)

BRP (DOO-T, 118,17$, DOOO-N, 94,02 $US): plein gaz
Malgré un inventaire réduit, BRP est parvenue à dépasser les attentes des analystes au cours du deuxième trimestre de son exercice de 2022, et elle compte bien poursuivre sur ce sentier malgré les embûches qui pointent à l’horizon, croit Brian Morrison de TD Securities.

Quels titres boursiers et rapports d'analystes ont retenu l'attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

Aucun article sur les titres «À surveiller» n'a été produit cette semaine. La rubrique reprend son horaire habituel à partir du 10 janvier 2022.

 

03 janvier

Aucun titre répertorié.

 

04 janvier

Dans les Titres en action:

  • Mayo Schmidt a démissionné de son poste de président et chef de la direction de Nutrien (NTR.TO, 91,57 $) et a renoncé à son poste au conseil d’administration de l’entreprise. Le producteur d’engrais a indiqué mardi que Ken Seitz, vice-président exécutif et chef de la direction des activités de potasse de Nutrien, a été nommé chef de la direction par intérim. M. Seitz, ancien chef de la direction de Canpotex, s’est joint à Nutrien en 2019. Le président du conseil de Nutrien, Russ Girling, a remercié M. Schmidt pour ses services et lui a souhaité le meilleur dans ses prochaines entreprises. M. Schmidt a été nommé chef de la direction de Nutrien en avril 2021. Il s’est joint au conseil d’administration de l’entreprise en 2012 et en a été le président de mai 2019 jusqu’à ce qu’il soit nommé comme chef de la direction. M. Girling a précisé que le conseil d’administration commencerait une recherche mondiale d’un nouveau chef de la direction, qui considérera les candidats internes et externes. 
  • Le PDG de Volvo Cars (VOLCAR-B.ST, 84,66 $SEK) Håkan Samuelsson, à la tête de la marque automobile depuis 2012, va quitter ses fonctions en mars prochain, a annoncé mardi le groupe suédois, deux mois après son introduction à la Bourse de Stockholm. Håkan Samuelsson, dont le contrat arrive à échéance cette année, va être remplacé par Jim Rowan, ancien PDG du groupe britannique de produits d'électroménagers Dyson et actuellement membre du conseil d'administration du groupe américain de tasses autochauffantes Ember Technologies. «Ce changement fait suite à un processus de recherche approfondi et diligent visant à assurer le maintien d'une direction solide de Volvo Cars avec un PDG qui possède une solide expérience dans le domaine des logiciels, de la transformation numérique et des produits de consommation innovants», a indiqué le groupe dans un communiqué. Après avoir construit sa réputation sur la sécurité de ses voitures, Volvo — propriété du chinois Geely — se place désormais parmi les plus ambitieux des constructeurs dans sa transition vers l'électrique, avec l'objectif d'abandonner le moteur à essence d'ici 2030. Arrivé au conseil d'administration du groupe en 2010, avant de prendre les rênes du constructeur, Håkan Samuelsson, 70 ans, quittera également le conseil d'administration de Volvo. 
  • Le groupe industriel Rolls-Royce (RR.L, 127,30 £), spécialiste de moteurs d'avion, a annoncé mardi la finalisation de la vente du producteur norvégien de moteurs pour bateaux Bergen Engines au groupe industriel britannique Langley Holdings pour un montant total de 91 millions d'euros. La Norvège avait bloqué en mars la vente de cette entreprise au groupe russe TMH, de peur que la Russie ne mette la main sur des technologies sensibles. Le gouvernement norvégien avait notamment jugé que «la technologie dont disposait Bergen Engines et les moteurs qu'elle fabriquait auraient une grande portée stratégique militaire pour la Russie» et que son rachat par une entreprise russe «aurait renforcé les capacités militaires» de Moscou. Rolls-Royce avait finalement annoncé le 3 août dernier un accord pour vendre sa filiale, d'une valeur de 63 millions d'euros, au groupe industriel britannique Langley Holdings. Outre le Royaume-Uni, cette entreprise qui emploie quelque 5 600 personnes est présente en Allemagne, Italie, France et aux États-Unis. En plus du produit de la vente, Rolls-Royce précise dans son communiqué conserver 16 millions d'euros de liquidités qui étaient détenues par le fabricant de moteurs de bateaux, ajoutant que ces sommes permettraient de remettre sur pied le bilan de l'entreprise.
  • Le constructeur automobile américain Ford (F, 21,77 $US) a annoncé mardi qu'au vu de la forte demande, il allait quasiment doubler les capacités de production de la version électrique de son pick-up F-150, le véhicule le plus vendu aux États-Unis. Le groupe prévoit désormais de produire 150 000 unités par an du F-150 Lightning, dont les premières livraisons doivent avoir lieu au printemps, dans son usine de véhicule électrique à Dearborn, dans le Michigan, détaille un communiqué. Il avait initialement prévu d'en construire 40 000 par an, un objectif déjà relevé en septembre à 80 000. Ford assure avoir déjà reçu 200 000 réservations, 75% d'entre elles provenant de clients ne possédant pas encore de véhicules de la marque. La course à la voiture électrique s'intensifie aux États-Unis et Ford prévoit d'investir au total plus de 30 milliards de dollars américains sur ce segment d'ici 2025. Le constructeur avait déjà annoncé qu'il allait augmenter les capacités de production de sa première Mustang électrique, un VUS baptisé Mach-E, afin qu'elles atteignent plus de 200 000 unités par an à partir de 2023.
  • L'action de l'opérateur ferroviaire Go-Ahead (GOG.L, 667,00 £) a été suspendue à la suite des problèmes comptables d'une de ses filiales, la compagnie Southeastern, dont l'audit se prolonge et qui n'est pas en mesure de publier ses comptes 2021. La société et ses auditeurs chez Deloitte estiment que «plus de temps est nécessaire pour finaliser l'audit des comptes financiers de l'année fiscale terminée le 3 juillet 2021 ce qui veut dire qu'il ne sera pas possible de publier les comptes annuels le 3 janvier», la date limite autorisée, d'après un communiqué de Go-Ahead mardi. «La société a par conséquent demandé que le courtage de ses actions ordinaires de 10 pence chacune et des obligations à 2,50% à échéance 2024 soient suspendus à partir de 7,30 le 4 janvier», précise le communiqué, publié sur le site de la Bourse de Londres. Le groupe entend demander à ce que l'action recommence â être cotée à partir de la publication des comptes annuels 2021, et espère pouvoir le faire d'ici fin janvier 2022, conclut-il. L'action de Go-Ahead avait clôturé à 667,00 pence le 31 décembre. Le gouvernement britannique a annoncé à la fin septembre reprendre les activités de la compagnie ferroviaire Southeastern, dont il n'a pas renouvelé le contrat de franchise en raison d'une dette de 25 millions de livres envers le contribuable britannique. Southeastern «n'a pas déclaré plus de 25 millions de livres» d'un financement public «qui aurait dû être remboursé», ce qui constitue une violation de l'obligation de «bonne foi» à laquelle est tenu le transporteur, avait indiqué le ministère des Transports. La somme de 25 millions de livres a, depuis, été récupérée par les autorités britanniques.
  • Le cimentier suisse Holcim (HOLN.SW, 48 $CHF) se renforce à nouveau aux États-Unis en bouclant une nouvelle acquisition avec le rachat de Cowden, un fabricant de béton prêt-à-l'emploi et granulats, annonce-t-il mardi sans dévoiler le montant de la transaction. Basée à Bellingham, dans l'État de Washington, cette entreprise fondée en 1945, qui compte une centaine d'employés, va lui permettre d'accroître sa présence dans la région Pacifique au Nord-Ouest des États-Unis, indique le groupe suisse dans le communiqué sans divulguer de détails financiers sur l'entreprise. Lors d'une journée pour les investisseurs mi-novembre, le groupe suisse avait dit vouloir continuer à réaliser des acquisitions ciblées dans les agrégats et le béton prêt-à-l'emploi afin de poursuivre sa croissance. Mi-décembre, Holcim s'était déjà renforcé dans le Mid-West, avec le rachat de Marshall Concrete Products, actif dans la région Minneapolis et Saint Paul dans le Minnesota. Mais le groupe compte aussi sur l'essor des produits pour toiture, un segment sur lequel il se développe depuis l'acquisition l'an passé de Firestone Building Products (FSBP), racheté pour 3,4 milliards de dollars américains (3 milliards d'euros aux taux actuels) auprès du japonais Bridgestone Corporation. Pour compléter cette acquisition, Holcim avait annoncé fin décembre le rachat de l'américain Malarkey Roofing Products, spécialisé dans les produits pour toiture dans l'immobilier résidentiel, pour 1,35 G$ US.
  • Le spécialiste français des paiements électroniques Worldline (WLN.PA, 51,00 €) a annoncé mardi avoir finalisé l'acquisition de 80% du capital d'Axepta, filiale spécialisée dans les services de paiement électronique pour commerçants de BNL, la branche italienne de BNP Paribas. Le montant de l'opération n'a pas été précisé. L'accord prévoit en outre la création d'une co-entreprise couvrant les activités d'Axepta et dont 20% du capital restera entre les mains de BNL et qui pourra être ouverte à l'avenir aux «partenaires existants» de Worldline et à «d'autres banques italiennes» souhaitant intégrer les services d'Axepta à leurs produits. Cette opération s'accompagne de la mise en place d'une «alliance stratégique dans les services aux commerçants en Italie avec BNL», a précisé le groupe dans un communiqué, qui s'inscrit dans la stratégie de Worldline d"'étendre sa présence en Europe au travers de partenariats avec les grandes institutions financières». Axepta est l'un des principaux acquéreurs bancaires en Italie, a précisé Worldline, avec plus de 200 millions de transactions acquises par an, soit 5% de part de marché. L'acquisition commerçant est le service qui permet au commerçant de recevoir des paiements par carte, que ce soit sur un terminal de paiement ou bien sur son site internet ou sur son application mobile.

 

05 janvier

 

Dans les Titres en action:

  • La compagnie américaine à bas coûts Allegiant Air (ALGT, 182,35 $US) a commandé 50 exemplaires du 737 MAX à Boeing (BA, 216 312 $US) et a posé une option pour 50 appareils supplémentaires de la même famille, selon un communiqué mercredi. Cet achat de la part d'une compagnie qui n'opère actuellement que des Airbus A319 et A320 représente une nouvelle bienvenue pour le constructeur américain, qui s'était vu ravir mi-décembre de grosses commandes de deux clients de longue date, Air France-KLM et Qantas, par son concurrent européen. Allegiant a choisi des 737-7, qui étaient vendus en 2019 au prix catalogue de 99,7 millions de dollars américains, et des 737-8-200, vendus à 124,8 M$US. Le groupe n'a pas précisé comment la commande était répartie entre ces deux versions. Les nouveaux avions consommeront aussi 20% de kérosène en moins que ceux actuellement utilisés dans la flotte d'Allegiant. Le 737 MAX est actuellement en pleine concurrence face aux best-sellers d'Airbus, les A220 et les A320neo. L'accord avec Allegiant représente la première grosse commande pour le constructeur depuis l'annonce, le 16 décembre, par la compagnie australienne Qantas du remplacement de ses Boeing 717 et 737 des lignes intérieures par des A220 et A320neo de l'avionneur européen, pour un total de 134 appareils potentiels.
  • La marque américaine Chrysler, filiale du groupe Stellantis (STLA, 20,80 $US), a annoncé mercredi qu'elle ne lancerait plus que des voitures électriques à partir de 2028. Cette nouvelle stratégie débutera avec un prototype dévoilé à l'occasion du salon de la tech CES à Las Vegas, qui sera disponible d'ici 2025 et est baptisé pour l'instant Chrysler Airflow. La voiture proposera notamment dans l'habitacle des outils «permettant à chaque passager d'avoir sa propre expérience» et de se connecter à leur vie numérique respective sur divers écrans. Elle sera équipée de systèmes d'assistance à la conduite et sa batterie devrait avoir une autonomie de 350 à 400 miles (563 à 644 kilomètres). Chrysler, fondé en 1925, entre ainsi, avec un peu de retard, dans la course aux véhicules électriques que se livrent actuellement les grands constructeurs américains. Racheté en 2009 par Fiat alors qu'il était en faillite, le constructeur Chrysler peine depuis à remonter la pente et ne propose plus que deux véhicules à son catalogue, Chrysler 300 et Chrysler Pacifica. Stellantis compte investir 30 milliards d'euros d'ici 2025 dans son électrification, dont 15 à 20% iront dans les logiciels.
  • Qualcomm (QCOM, 191,20 $US) va fournir les architectures électroniques des prochains modèles de VolvoHonda et Renault, a annoncé mardi le fabricant américain de semi-conducteurs. Les circuits intégrés Snapdragon Cockpit, alliés aux logiciels Android Automotive de Google, équiperont notamment le prochain modèle électrique de Volvo ainsi que celui de sa filiale Polestar, a annoncé Qualcomm au CES de Las Vegas. Ces puces, qui permettent notamment de gérer la navigation et la commande vocale, équiperont également les modèles Honda commercialisés aux États-Unis à partir de la fin 2022, et dans le monde en 2023. Renault, qui doit intégrer ces puces sur sa prochaine Mégane, va aussi «travailler» avec Qualcomm pour équiper ses prochains véhicules du «châssis numérique Snapdragon», qui comprend un ensemble d'applications comme la 5 G, le Wifi, la localisation, les mises à jour du véhicule en ligne et les services sur abonnement, mais aussi des assistances à la conduite. Qualcomm, surtout connu pour la fabrication de puces électroniques pour les téléphones, s'est renforcé dans l'automobile en acquérant Arriver, une filiale de l'équipementier suédois Veoneer qui développe une plateforme d'assistance à la conduite. Annoncée en octobre 2021, cette opération doit se conclure dans les prochains mois.
  • Les laboratoires américain Pfizer (PFE, 55,72 $US) et allemand BioNTech (BNTX, 224,43 $US), alliés dans le développement d'un des principaux vaccins contre la COVID-19, ont annoncé mercredi une nouvelle collaboration pour développer un vaccin à base d'ARN messager (ARNm) contre le zona. L'accord porte sur «la recherche, le développement et la commercialisation» du vaccin, indique un communiqué des deux entreprises qui précise que «les essais cliniques devraient commencer dans la seconde moitié de 2022». La collaboration entre le géant pharmaceutique américain et la biotech allemande avait débuté en 2018 par un projet de vaccin contre la grippe, toujours en cours. Ce programme avait été supplanté en 2020 par l'apparition du nouveau coronavirus qui avait conduit les deux entreprises à développer en un temps record le premier vaccin à ARN messager approuvé contre la COVID-19. La technologie innovante de l'ARN messager n'a pour l'instant pas été appliquée pour d'autres virus que la COVID-19, mais elle est considérée comme prometteuse dans la lutte contre de nombreuses maladies.

 

06 janvier

 

Dans les Titres en action:

  • La chaîne britannique de restauration rapide Greggs (GRG.L, 3 160 £) a nommé comme nouvelle directrice générale Roisin Currie, qui va rejoindre le club encore très restreint des patronnes de grandes sociétés cotées au Royaume-Uni. Mme Currie, actuellement directrice des boutiques, est la première femme à diriger la chaîne, connue notamment au Royaume-Uni pour son très populaire «sausage roll», un friand à la saucisse. Cette Écossaise originaire de Glasgow a joué «un rôle crucial dans le développement des plans stratégiques établis l'an dernier», et succédera à partir de mai à Roger Whiteside, qui part en retraite, détaille Greggs dans un communiqué. Avant de rejoindre Greggs en 2010, Mme Currie a travaillé pour la chaîne de supermarchés Asda et elle est notamment présidente d'une association pour l'emploi et la réintégration sociale des ex-détenus. Si des progrès notables ont eu lieu dans la présence de femmes dans les conseils d'administration ces dernières années au Royaume-Uni, les femmes aux postes de DG sont encore rares.
  • En s'offrant LeasePlan, le numéro un européen du crédit-bail automobile, pour 4,9 milliards d'euros, Société Générale (GLE.PA, 32,82 €), via sa filiale ALD, signe la plus grosse acquisition de son histoire. À travers cette opération, la banque ambitionne de créer un «acteur mondial de premier plan» fort d'une flotte de 3,5 millions de véhicules. Jeudi, Société Générale a annoncé dans un communiqué que deux protocoles d'accord avaient été signés «prévoyant l’acquisition par ALD de 100% du capital de LeasePlan auprès d’un consortium mené par TDR Capital en vue de créer un acteur mondial de premier plan dans les solutions de mobilité avec une flotte totale combinée d’environ 3,5 millions de véhicules».
  • Toujours à la recherche d'un directeur général, le groupe de restauration collective Sodexo (SW.PA, 80,84 €) a retrouvé 95% de son activité pré-COVID au premier trimestre de son exercice décalé 2021-2022 et confirmé ses prévisions, en dépit des incertitudes liées à la crise sanitaire. De septembre à novembre, le chiffre d'affaires a bondi de 18,8% à 5,26 milliards d'euros, et le groupe prévoit toujours qu'il progresse «entre +15% et +18%» en croissance interne sur l'exercice en cours, avec une marge d'exploitation «proche de 5% à taux constants», précise un communiqué publié jeudi. Et cela, en dépit des incertitudes liées aux mesures sanitaires «prises par les gouvernements» pour contrer la 5e vague de COVID-19 et la progression fulgurante du variant Omicron, dont le groupe ignore à ce stade si elles auront «un impact significatif ou non sur l'activité». Présent dans 56 pays, Sodexo fournit des services qui vont de la restauration, l'accueil, l'entretien et le nettoyage, à la maintenance technique d'installations et la conciergerie.

 

 

07 janvier

Aucun titre répertorié.

 

 

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