Voici une sélection d'annonces qui ont fait (ou vont faire) bouger les cours de ces entreprises:
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DHX Media(DHX, 1,69$) a trouvé son nouveau chef de la direction en la personne d'Eric Ellenbogen, ancien président et chef de la direction de Marvel Enterprises. M. Ellenbogen, qui a également été nommé vice-président du conseil d'administration, remplace Michael Donovan, qui a quitté ses fonctions de chef de la direction et président exécutif du conseil. M. Donovan devrait continuer à siéger au conseil en tant que président fondateur, tandis que Donald Wright a été nommé président non exécutif. M. Ellenbogen a passé plus de 30 ans dans le secteur du divertissement, a précisé DHX. En plus de son rôle chez Marvel avant son acquisition par Disney, il a occupé plusieurs postes de direction dans diverses sociétés de divertissement. DHX est un producteur et distributeur de programmes destinés aux enfants et aux jeunes, tels que Peanuts, les Teletubbies, Fraisinette, Caillou, Inspecteur Gadget et la franchise Degrassi.
Une forte adhésion à la cryptomonnaie Libra annoncée par Facebook(FB, 185,67$US) pourrait nuire à la politique monétaire de la zone euro et à la monnaie unique, a déclaré lundi un haut responsable de la Banque centrale européenne. Libra, le projet de monnaie virtuelle adossé à des devises programmé en juin par Facebook pour le premier semestre 2020, suscite depuis la méfiance des banquiers centraux, des politiques et des régulateurs dans le monde. «En fonction du niveau d'acceptation de la Libra et de la pondération de l'euro dans son panier de réserves, cela pourrait réduire le contrôle de la BCE sur l'euro, nuire au mécanisme de transmission de la politique monétaire (...) et porter atteinte à la position internationale de la monnaie unique, par exemple en réduisant la demande», a averti Yves Mersch, membre du directoire de l'institut monétaire. Le géant américain Facebook espère capitaliser sur ses plus de deux milliards d'utilisateurs pour s'imposer dans les paiements, les services financiers et le commerce en ligne. M. Mersch espère lui que les citoyens européens «ne cèderont pas aux sirènes de Facebook» en tournant le dos à la sécurité des services de paiements bien établis.
Le groupe Volkswagen ne sera pas privé d'accès aux marchés publics aux États-Unis malgré le «dieselgate» après un accord avec le gouvernement américain, selon un mémo interne et un document juridique consultés lundi par l'AFP. «L'accord nous permet, ainsi qu'à nos filiales, de continuer à participer aux appels d'offre», explique ce mémo envoyé aux cadres du groupe. En contrepartie, un auditeur de l'agence environnementale américaine EPA surveillera Volkswagen, en plus de Larry Thompson, déjà chargé par le département de Justice de suivre les réformes de constructeur après le scandale des moteurs diesel truqués. Le groupe a avoué en 2015 avoir équipé 11 millions de ses voitures diesel d'un logiciel les faisant apparaitre moins polluantes lors des tests en laboratoire qu'en réalité. Le dossier a jusqu'ici coûté plus de 40 milliards $ à l'entreprise et grandement écorné l'image du secteur automobile allemand, précipitant le déclin du diesel.
