À surveiller: Rogers, Open Text et Stella-Jones

Publié le 10/11/2021 à 09:14

À surveiller: Rogers, Open Text et Stella-Jones

Publié le 10/11/2021 à 09:14

Par Jean Gagnon
Le logo de Rogers

La Cour suprême de la Colombie-Britannique s’est prononcée en faveur du droit de Edwards Rogers à remplacer cinq membres indépendants du conseil d’administration de l'entreprise. (Photo: 123RF)

Que faire avec les titres de Rogers, Open Text et Stella-Jones? Voici quelques recommandations d’analystes susceptibles de faire bouger les cours prochainement. Note: l’auteur peut avoir une opinion totalement différente de celle exprimée.

 

Rogers (RCI.B, 60,90$): la cour a tranché et les perspectives à court terme sont maintenant favorables

La saga au sein du conseil d’administration du groupe de télécommunications est maintenant terminée à la suite du jugement de la Cour suprême de la Colombie-Britannique qui a tranché en faveur du président du conseil Edward Rogers. Joe Natale demeure néanmoins directeur et président de la société.

Tout va maintenant pour le mieux, semble croire Tim Casey, analyste chez BMO Marchés des capitaux. Les parties en cause semblent s’entendre sur la priorité, si ce n’est l’urgence, de réaliser l’acquisition de Shaw Communications, selon lui.

De plus, les résultats du 3e trimestre démontrent une amélioration des perspectives pour le secteur du sans-fil au Canada conséquemment à la réouverture de l’économie et au retour en force des consommateurs. Bien qu’ils subsistent certaines incertitudes quant au rôle de chacun au sein de la direction, Tim Casey croit que les perspectives à court terme sont propices à une hausse de la valeur des actions de la compagnie.

L’analyste a une recommandation de «surperformance», et son cours cible est de 68,00$.

La Cour suprême de la Colombie-Britannique s’est prononcée en faveur du droit de Edwards Rogers à remplacer cinq membres indépendants du conseil d’administration. Et les changements ont été aussitôt effectués. Le dossier sur les questions de droit est donc clos, conclut l’analyste.

Toutefois, à la suite des démêlés des derniers mois, la relation entre les parties impliquées demeure une source d’inquiétude pour les investisseurs, admet l’analyste de la BMO.

Par ailleurs, l’examen des affidavits déposés démontrent clairement qu’il y avait entente entre la famille Rogers, le conseil d’administration et le management quant à la réalisation de l’acquisition de Shaw.

 

 

Open Text (OTEX-NASDAQ, 52,22 $US): une acquisition sur mesure, selon l’analyste de la Banque Nationale

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