La banque centrale tente de déterminer ses forces et faiblesses pendant les périodes de croissance et de turbulences.
La numéro deux de la Banque du Canada affirme que toute modification à la politique monétaire sera évaluée en fonction de son incidence sur la répartition du revenu et de la richesse dans le pays.
La première sous-gouverneure Carolyn Wilkins a également déclaré, mercredi, que la banque centrale se penchait sur différents cadres afin de déterminer leurs forces et faiblesses pendant les périodes de croissance et de turbulences.
L’institution étudie son cadre de politique monétaire en cherchant à maintenir sa cible d’inflation annuelle ou adopter un objectif différent. S’exprimant dans le cadre d’un atelier d’une journée organisé par la Banque du Canada, Mme Wilkins a indiqué que pour le moment, aucun cadre ne dominait « sur tous les plans ».
Elle a ajouté que, quel que soit le cadre choisi, la capacité de la banque centrale à atténuer les chutes brusques et soudaines de l’économie ou à fournir une aide sectorielle sera limitée.