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Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

lesaffaires.com|Publié le 15 octobre 2021

Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

(Photo: Getty Images)

BRP (DOO-T, 118,17$, DOOO-N, 94,02 $US): plein gaz
Malgré un inventaire réduit, BRP est parvenue à dépasser les attentes des analystes au cours du deuxième trimestre de son exercice de 2022, et elle compte bien poursuivre sur ce sentier malgré les embûches qui pointent à l’horizon, croit Brian Morrison de TD Securities.

Quels titres boursiers et rapports d’analystes ont retenu l’attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

11 octobre

Férié.

 

12 octobre

 

Dans les Titres en action:

  • GE Renewable Energy a annoncé mardi le doublement des capacités de production de son usine de pales d’éoliennes en mer à Cherbourg (Manche), et le recrutement de 200 personnes pour porter l’effectif du site à 800. «Le site va recruter et former 200 nouveaux employés, portant l’effectif total de l’usine à 800″, a annoncé la filiale énergies renouvelables de l’américain General Electric (GE, 102,12 $US) dans un communiqué. Ces recrutements sont prévus d’ici à 2022, a précisé le service communication de l’entreprise interrogé par l’AFP. Il n’y a pour l’heure pas d’autre vague de recrutement prévue en 2022, selon la même source. «L’augmentation des effectifs de production permettra (…) de répondre à la demande croissante de l’industrie éolienne en mer», précise l’entreprise dans son communiqué. Cette vague de recrutements correspond au lancement mardi d’une deuxième ligne de production à Cherbourg, selon le communiqué. Des travaux de construction en vue de l’agrandissement de l’usine vont en outre démarrer dans les prochaines semaines, selon le service de presse. Ils devraient s’achever au premier trimestre 2022 et permettront d’agrandir d’un tiers la surface de l’usine, selon la même source. Cet agrandissement représente un investissement de 14 millions d’euros, dont 2,1 millions financés par les collectivités locales, selon GE Renewable Energy. 
  • Le constructeur américain General Motors (GM, 58,88 $US) a annoncé mardi que le fabricant des batteries défectueuses qui ont conduit au rappel massif de Chevrolet Bolt, le groupe sud-coréen LG (066570.KS, 124 000 $KRW), avait accepté de lui rembourser jusqu’à 1,9 milliard de dollars américains. Les défauts sur les batteries peuvent, dans certaines circonstances, déclencher des départs de feu, ce qui a poussé GM à rappeler au total 142 000 véhicules en plusieurs fois et à suspendre temporairement la production des batteries. Le constructeur automobile avait annoncé lors des résultats du deuxième trimestre début août que le rappel lui avait coûté 800 millions $US puis avait fait part quelques semaines plus tard d’un surcoût supplémentaire de 1 milliard $US. Il a indiqué mardi que le coût des rappels était désormais estimé à 2 milliards $US. Mais à la suite de l’accord passé avec LG, GM «passera dans ses comptes du troisième trimestre une somme qui couvrira 1,9 milliard des 2 milliards de charges liées aux rappels», détaille le communiqué. Ces péripéties sur le seul véhicule électrique commercialisé actuellement par GM aux États-Unis ont mis en avant les difficultés liées à la production de véhicules propres, dont le déploiement à grande échelle est devenu un élément clé des politiques de lutte contre le changement climatique. 
  • Le transporteur aérien britannique Easyjet (EZJ.L, 626,40 £)a indiqué mardi prévoir encore une forte perte pour son résultat annuel, jusqu’à près de 1,18 milliard de livres, mais observe une forte reprise du trafic avec la levée de nombreuses restrictions aux voyages internationaux. La perte avant impôts est ainsi attendue entre 1,135 et 1,175 milliard de livres pour l’exercice décalé 2021 terminé fin septembre, en raison d’un trafic international encore perturbé et des restrictions encore importantes aux déplacements, dit la compagnie dans un communiqué. Concernant le premier trimestre de son année décalée, qui vient de commencer, la compagnie à bas coûts s’attend à des vols représentant «jusqu’à 70% de l’année pleine 2019», soit avant la pandémie, compte tenu des restrictions actuelles de voyage sur les marchés où elle opère. C’est une amélioration par rapport à la période de juillet à septembre, son quatrième trimestre décalé, pour laquelle elle tablait sur 60%. Au cours de ce quatrième trimestre décalé, Easyjet a «fortement augmenté» ses vols, «ce qui a fait de nous la deuxième plus importante compagnie en Europe cet été, tout en ayant divisé notre perte par deux», par rapport à celle de l’été 2020, a souligné le directeur général Johan Lundgren, cité dans le communiqué. La compagnie a notamment vu ses ventes quadrupler dans les jours qui ont suivi les derniers allègements de restrictions sur les conditions de voyage au Royaume-Uni, en particulier vers la Turquie et l’Égypte.
  • La société suisse de capital investissement Partners Group (PGHN.SW, 1 446,50 $CHF) va céder une participation de 25% dans le groupe immobilier français Foncia à la société américaine d’investissement TA Associates tout en restant son actionnaire majoritaire, a-t-elle annoncé mardi. Le groupe suisse n’a toutefois pas divulgué le montant de la transaction. Avec un groupe d’investisseurs, Partners Group avait racheté en 2016 les parts de la société d’investissement française Eurazeo et du fonds britannique Bridgepoint, avec pour objectifs de consolider la part de Foncia sur le marché immobilier français et d’accélérer son expansion internationale. Au cours des cinq dernières années, Partners Group a «transformé» Foncia, accélérant sa croissance externe avec «plus de 260 acquisitions réalisées», a mis en avant le fonds d’investissement dans un communiqué, soulignant qu’il a également amorcé sa transformation numérique. Fondée en 1972, l’entreprise française d’administration de biens immobiliers emploie environ 12 000 personnes à travers 600 agences en France, mais aussi en Allemagne, en Suisse, en Belgique et au Luxembourg. Son chiffre d’affaires devrait approcher 1,25 milliard d’euros en 2021, a indiqué Partners Group dans le communiqué. Par comparaison, ses ventes avoisinaient 700 millions d’euros en 2015, avait précisé le groupe suisse à l’époque du rachat.

 

À surveiller

Aritzia (ATZ, 42,15$): un analyste abaisse sa recommandation, mais augmente son cours cible sur un an. Le détaillant de vêtements Aritzia a vu son titre progresser de 60% depuis le début de 2021 et l’analyste Irene Nattel, de RBC Marchés des capitaux, juge que son évaluation «étire l’élastique».

Dorel (DII.B, 10,42$) : un analyste triple son cours cible sur un an. La société Les Industries Dorel a annoncé lundi la vente de sa division de vélos, Dorel Sports, à Pon Holdings B.V., un groupe hollandais du secteur de la mobilité, pour 810 millions de dollars américains (M$US) en espèces, ce qui représente environ 1 milliard de dollars canadiens.

Lion Électrique (LEV, 11,09 $US): Banque Scotia initie la couverture du titre avec de modestes attentes. L’analyste Mark Neville, de la Banque Scotia, initie la couverture de Lion Électrique avec un cours cible sur un an de 16,50 $US et une recommandation de «performance égale au secteur».

 

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13 octobre

 

Dans les Titres en action:

  • BlackRock (BLK, 863,43 $US), le premier gestionnaire d’actifs au monde, a fait part mercredi de résultats trimestriels meilleurs que prévu, profitant de la santé solide des marchés boursiers et donc de la hausse des revenus issus de ses commissions. Le groupe dirigé par Larry Fink a réalisé entre juin et septembre un chiffre d’affaires de 5,05 milliards de dollars américains, en hausse de 16% sur un an et supérieur aux anticipations des analystes (4,9 G$US). Le bénéfice net de BlackRock au troisième trimestre est de 1,69 G$US, soit 10,95 $US par action, ce qui est nettement mieux que les 9,35 $US envisagés par le marché. Le montant des actifs sous gestion a lui légèrement reculé, passant à 9,464 G$US contre un record de 9,496 G$US au trimestre précédent. Sur le trimestre, Blackrock a attiré 98 G$US de collecte nette.
  • La compagnie aérienne américaine Delta Air Lines (DAL, 41,58 $US) a annoncé mercredi avoir dégagé un bénéfice au troisième trimestre, mais a prévenu que les prix élevés du carburant pourraient peser sur son bilan d’ici à la fin de l’année. De juillet à septembre, l’entreprise a réalisé un bénéfice net de 1,2 milliard de dollars américains (soit 1,89 $US par action). C’est moins que les 1,5 G$US réalisés à la même période en 2019, avant le début de la pandémie. La compagnie avait en réalité déjà enregistré un bénéfice net au trimestre précédent grâce au versement d’aides du gouvernement américain, mais elle continuait à perdre de l’argent dans ses opérations. Rapporté par action et hors éléments exceptionnels, référence à Wall Street, le profit sur le trimestre est de 30 cents, mieux que les 17 cents prévus par les analystes. Le chiffre d’affaires s’est lui établi à 9,15 G$US, au-dessus des 8,4 G$US attendus par le marché.
  • JPMorgan Chase (JPM, 161,21 $US) estime que la croissance économique reste robuste malgré le variant Delta de la COVID-19 et les problèmes de chaîne d’approvisionnement et a en conséquence encore réduit au troisième trimestre les réserves mises de côté au début de la pandémie en vue d’éventuels impayés. Les bénéfices de l’établissement financier ont continué à augmenter sur la période, de 24% à 11,69 milliards de dollars américains, tandis que son chiffre d’affaires s’est stabilisé (+1%) à 29,65 milliards $US. Le montant des prêts accordés par l’établissement aux particuliers a dans le même temps reculé de 2% en raison de remboursements anticipés sur les emprunts à long terme et des dispenses de remboursement accordées aux entreprises ayant bénéficié au plus fort de la crise sanitaire de prêts du gouvernement. Les revenus générés par les courtiers de la firme, qui avaient atteint un niveau record l’an dernier alors que les marchés étaient particulièrement volatils, ont reculé de 5%. Les banquiers d’affaires qui conseillent les entreprises sur leurs grosses opérations de fusions-acquisitions ou d’entrée en Bourse ont de leur côté vu leurs commissions augmenter de 52%. JPMorgan a aussi profité au courant du trimestre d’un gain fiscal de 566 millions $US à la suite de la finalisation de ses impôts 2020.

 

À surveiller

Rogers Communications (RCI.B, 58,01 $): ça brasse dans la salle du conseil. Depuis le 20 juillet, le cours de l’action de Rogers Communications a chuté de plus de 13%.

CI Financial (CIX, 25,68 $): les rachats d’actions vont maintenir la valorisation du titre. Entraîné par la hausse généralisée des marchés boursiers au cours des derniers mois, le cours de l’action de la plus grosse société de gestion de placements au Canada est passé de 19 $ à 26 $, une appréciation de plus de 35%.

Gildan (GIL, 43,98 $): la société doit faire face au projet d’impôt mondial minimum et à la volatilité du prix de coton. Depuis son sommet de 50 $ au début du mois de septembre, le fabricant de vêtements de sport a cédé 12% de sa valeur et doit maintenant composer avec le projet de l’OCDE de créer un impôt minimum de 15%, ce qui haussera sa facture fiscale, ainsi qu’avec la volatilité du prix du coton, explique Chris Li, analyste chez Desjardins.

 

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14 octobre

Dans les Titres en action:

  • Canopy Growth (WEED.TO, 17,69 $) a annoncé jeudi avoir signé un accord qui lui confère le droit d’acquérir la société américaine de produits comestibles au cannabis Wana Brands si les États-Unis décident de légaliser le tétrahydrocannabinol (THC) au niveau fédéral. Wana fabrique et vend des bonbons gélifiés au cannabis au Colorado et accorde des licences de propriété intellectuelle à des partenaires dans plusieurs autres États et au Canada. En vertu de l’accord, le producteur de cannabis de Smith Falls, en Ontario, effectuera un paiement initial en espèces de 297,5 millions $US et acquerra trois accords d’option d’achat pour acquérir les entités Wana Mountain High Products, Wana Wellness et Cima Group. À l’exercice de chaque convention d’option d’achat, Canopy Growth effectuera un paiement égal à 15% de la juste valeur marchande de l’entité au moment de l’exercice de l’option. Canopy Growth peut également effectuer des paiements différés supplémentaires deux ans et demi et cinq ans après le paiement initial.
  • La banque d’affaires américaine Morgan Stanley (MS, 98,06 $US) a fait part jeudi de résultats supérieurs aux attentes grâce à des revenus record issus de ses activités sur les marchés financiers et de sa gestion de fortune. Le groupe a dégagé un bénéfice net de 3,71 milliards de dollars américains de juillet à septembre, en hausse de 36% par rapport à la même période l’année dernière. Rapporté par action et hors éléments exceptionnels, la référence pour les analystes, le bénéfice net atteint 1,98 $US, bien plus que les 1,71 $US que le marché anticipait. Le chiffre d’affaires s’est lui établi à 14,75 milliards $US, mieux que les 13,95 milliards $US attendus par les analystes. La banque s’est montrée particulièrement performante dans ses différentes opérations avec les clients institutionnels, où elle a dégagé 7,5 G$ US de revenus, en hausse de 22% sur un an. À elles seules, les activités de conseil pour des fusions-acquisitions ou des introductions en Bourse ont généré 1,27 G$ US alors qu’elles représentaient seulement 357 M$ US au troisième trimestre 2020. Le courtage d’actions a rapporté 2,88 G$ US (+25%) et le courtage de produits à taux fixe 1,64 G$ US (-16%).
  • Bank of America (BAC, 43,53 $US) a vu son bénéfice bondir de 58% au troisième trimestre, dopé par l’amélioration de l’économie qui lui a permis de réduire les réserves constituées au début de la pandémie et ses activités de banque d’affaires. L’établissement financier, qui avait mis de côté plusieurs milliards pour faire face aux éventuels impayés de ses clients en 2020, a relâché 1,1 milliard de dollars américains sur la période. Signes de la bonne santé financière de ses clients particuliers: les dépôts dans la banque de détails ont augmenté de 16% et les dépenses sur les cartes de débit et de crédit de 21%. Le volume total des prêts accordés par la banque aux particuliers et petites entreprises reste en repli, de 12%, par rapport à la même période en 2020, les clients payant plus leurs dettes et empruntant moins pour un premier achat immobilier. Mais il a augmenté par rapport au trimestre précédent, signe que cette activité essentielle pour les banques qui avait fortement ralenti pendant la pandémie reprend un peu de vigueur. Les revenus nets d’intérêts, soit la différence entre l’intérêt que Bank of America gagne sur les prêts consentis à ses clients et l’intérêt qu’elle verse aux épargnants et autres créanciers pour utiliser leur argent, ont progressé de 10% grâce à la hausse des dépôts et aux activités de prêts accordés par le gouvernement aux entreprises pour les aider à surmonter la pandémie (PPP). Les revenus non liés aux intérêts ont de leur côté augmenté de 14%. Le chiffre d’affaires total de la banque a progressé de 12% à 22,77 G$ US, soit plus que les 21,78 milliards attendus par les analystes. Son bénéfice net a atteint 7,69 G$ US.
  • Le bénéfice net de Citigroup (C, 69,86 $US) a bondi de 48% au troisième trimestre, dopé par la baisse des réserves mises de côté en début de pandémie et ses activités de banque d’affaires. Comme le reste des grandes banques américaines, Citi s’était constitué un coussin financier de plusieurs milliards de dollars américains en 2020 au cas où ses clients ne puissent plus rembourser leurs emprunts. L’économie s’améliorant et les finances des particuliers comme des entreprises ayant plutôt bien tenu pendant la crise, Citigroup diminue peu à peu ses réserves et en a encore relâché 1,16 G$ US au troisième trimestre. Cette somme a alimenté son bénéfice net, qui a atteint au total 4,6 G$ US. Rapporté par action et hors élément exceptionnel, le bénéfice s’est affiché à 2,15 $US, là où les analystes attendaient 1,65 $US. Le chiffre d’affaires de la banque a de son côté légèrement reculé, de 1%, à 17,1 G$ US, en raison notamment de la cession des activités de banque de détail en Australie. En excluant cette opération, il aurait progressé de 3%. Du côté des clients institutionnels, le chiffre d’affaires de Citi a progressé de 4%, tiré par les activités des banquiers d’affaires apportant des conseils aux entreprises souhaitant lever de l’argent ou effectuer des opérations de fusions-acquisitions. Le revenu tiré des activités de courtage a dans son ensemble reculé de 4%, malgré un bond de 40% de la négociation sur les marchés actions.
  • Le producteur d’uranium Cameco (CCO.TO, 31,60 $) a indiqué mercredi qu’il explorait la possibilité de s’associer à Terrestrial Energy pour d’éventuels futurs déploiements de centrales nucléaires en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde. Les deux sociétés ont signé un protocole d’entente non contraignant qui pourrait permettre à Cameco, de Saskatoon, de fournir de l’uranium, du combustible et des fournitures pour les centrales nucléaires à réacteur intégral à sels fondus de Terrestrial, une entreprise d’Oakville, en Ontario. Les sociétés étudient également le potentiel de l’installation de conversion d’uranium de Cameco à Port Hope, dans le sud de l’Ontario, pour l’approvisionnement en combustible de réacteur intégral à sels fondus. Cameco est l’un des plus grands producteurs mondiaux de combustible à l’uranium pour la production d’énergie nucléaire. Il fournit notamment du combustible et des assemblages combustibles pour les réacteurs CANDU au Canada et à l’étranger. Terrestrial Energy est une entreprise de technologie nucléaire qui affirme avoir amélioré de 50% l’efficacité de la production d’énergie nucléaire. La centrale à réacteur intégral à sels fondus de Terrestrial Energy est l’un des trois types de centrales à petit réacteur modulaire à l’étude pour le déploiement à la centrale nucléaire Darlington d’Ontario Power Generation. Terrestrial affirme que ses activités à Oakville représentent le plus grand projet de développement technologique de centrales énergétiques à petits réacteurs modulaires au Canada. 

 

À surveiller

Rogers Communications (RCI.B, 58,40 $): une occasion d’achat maintenant que le PDG a passé le test. Vince Valentini de TD Valeurs mobilières prend le contrepoids d’autres collègues au sujet de la tentative par Edward Rogers, le président du conseil de Rogers, de déloger le président Joe Natale pour y installer le directeur financier, qui a depuis quitté son poste.

Aritzia (ATZ, 40,54 $): un trimestre record, mais les coûts montent et l’évaluation est riche. Irene Nattel, de RBC Marchés de capitaux, ne tarit pas d’éloges au sujet du détaillant de vêtements de marques exclusives pour femmes après le dévoilement des résultats éclatants du troisième trimestre.

MTY (MTY, 66,10 $): un repli injustifié pour le franchiseur rentable. John Zamparo de Marchés mondiaux CIBC s’explique mal le repli du titre du franchiseur de plus de 80 enseignes de restaurants lors de la publication de solides résultats au troisième trimestre.

 

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15 octobre

À surveiller

Nuvei Corporation (NVEI, 125,91 $US): premiers pas aux États-Unis. Un peu plus d’un an après son entrée à la Bourse de Toronto, Nuvei a réalisé son premier appel public à l’épargne aux États-Unis qui s’est clos le 6 octobre dernier, ce qui a convaincu l’analyste de Scotiabank, Paul Steep de se repencher sur le titre.

Target (TGT, 230,24 $US): prêt à affronter le temps des Fêtes. Si les ruptures des chaînes d’approvisionnement créent des maux de tête à de nombreux détaillants, force est de constater que Target n’est pas de ce nombre, a conclu Kelly Bania de BMO Marchés des capitaux à la suite d’un appel téléphonique qu’elle a organisé avec le directeur des finances de la société, Michael Fiddelke.=

Air Canada (AC, 22,94 $): la prudence est de mise à l’approche des résultats. Bien que les nouvelles liaisons annoncées laissent présager un ciel rayonnant, quelques turbulences affecteront encore le transporteur aérien Air Canada au cours des prochains trimestres, prévoit Cameron Doerksen de la Financière Banque Nationale.