En revanche, si le même dirigeant sent s’ouvrir à lui un vaste champ de possibilités, s’il sent souffler à son visage un grand air de liberté, il va être heureux de faire des choix et d’agir en conséquence. Son enthousiasme sera communicatif. Le succès sera alors à l’horizon. Et ce, même si, en vérité, ce vent vivifiant n’est que le fruit de son imaginaire…
Vision cynique de ma part? Si vous voulez, mais je préfère le terme de machiavélique : «Gouverner, c’est faire croire», disait fort à propos ce cher Nicolas…