Une (vraie) téléréalité québécoise sur les start-ups!

Publié le 18/10/2012 à 16:15, mis à jour le 22/10/2012 à 14:29

Une (vraie) téléréalité québécoise sur les start-ups!

Publié le 18/10/2012 à 16:15, mis à jour le 22/10/2012 à 14:29

BLOGUE. L’incubateur montréalais FounderFuel a dévoilé aujourd’hui les quatre premiers épisodes d’une émission de téléréalité mettant en vedette les entrepreneurs technos de sa deuxième cohorte. Réalisé par Jean-Pierre Roy, Ça passe ou ça casse! est diffusée sous la forme de capsules d’une douzaine minutes sur YouTube.

L’émission se déroule à la Maison Notman, où Real Ventures et FounderFuel sont basés, et met en scène la réalité quotidienne de quelque 11 start-ups naissantes. Ce quotidien est beaucoup moins excitant que le film The Social Network, par exemple, mais a pour mérite de faire connaître le quotidien de start-ups technos anonymes… qui aspirent à devenir les géants technos de demain.

Si j’ai pris la peine de préciser qu’il s’agissait d’une « vraie » téléréalité, c’est qu’une autre sur le même sujet, qui devrait faire ses débuts sur Bravo ! aux États-Unis le 5 novembre prochain, a été critiquée pour son sensationnalisme. La bande-annonce de Start-Ups: Silicon Valley met ainsi en scène de jeunes entrepreneurs en train de faire la fête dans les bars, de rouler à toute vitesse dans une décapotable et de brasser une bouteille de champagne... Non sans ironie, la productrice de cette émission n’est nulle autre que la soeur du fondateur de Facebook, Randi Zuckerberg.

Sans doute la série américaine sera-t-elle plus divertissante. Toutefois, ceux qui veulent savoir ce que c’est que de bâtir une entreprise techno auraient intérêt à regarder Ça passe ou ça casse!, une série plus sobre, mais aussi, plus réaliste

 

À propos de ce blogue

DE ZÉRO À UN MILLION est le blogue de Julien Brault, qui a fondé la start-up Hardbacon en juin 2016. L’ancien journaliste de Les Affaires relate ici chaque semaine comment il transforme une idée en entreprise. Dans ce blogue, Julien Brault dévoile notamment chaque semaine ses revenus. Une démarche sans précédent qui est cohérente avec les aspirations de Hardbacon, qui vise à aider les gens à investir intelligemment en faisant voler en éclat le tabou de l’argent. Ce blogue sera ainsi alimenté jusqu’à ce que Hardbacon, qui n’avait aucun revenu lors de la publication du premier billet, génère un million de dollars en revenu annuel.

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