Le Nexus S de Google : plus de liberté et plus de longévité

Publié le 05/05/2011 à 09:15, mis à jour le 05/05/2011 à 09:15

Le Nexus S de Google : plus de liberté et plus de longévité

Publié le 05/05/2011 à 09:15, mis à jour le 05/05/2011 à 09:15

Les globe-trotters, qui savent à quel point les frais d’interurbains en itinérance sont outrageusement élevés, seront heureux d’apprendre qu’ils pourront réduire radicalement la facture de leurs voyages d’affaires. Par exemple, une personne ayant un Nexus S sous contrat avec Bell, Rogers ou Telus pourra remplacer la carte SIM de son opérateur par une nouvelle de Verizon, lorsqu’elle voyage aux États-Unis. Si toutefois cette personne dispose d’un Nexus S fourni par Vidéotron, qui utilise un réseau différent, cette dernière devra se tourner vers une carte SIM de T-Mobile lorsqu’elle séjourne au sud de la frontière.

Au-delà des États-Unis, il est possible d’employer cette stratégie dans de nombreux pays étrangers, pourvu qu’on y trouve des réseaux compatibles et des opérateurs disposés à vendre des forfaits à la carte.

Être prêt pour le futur

La présence d’une puce NFC dans le Nexus S est un gage de longévité pour l’appareil. Vouée à servir de mode de paiement, la puce NFC, quoiqu’inutile pour l’instant, a de bonnes chances de devenir utile dans un futur rapproché, comme je l’explique dans un billet précédent. Ainsi, cette puce est d’autant plus la bienvenue que la plupart des propriétaires canadiens du Nexus S signeront un contrat de trois ans avec un opérateur pour se procurer l’appareil.

Bref, si le Nexus S ne dispose pas d’une avance technologique considérable sur ses concurrents, c’est sans aucun doute l’un des téléphones intelligents qui aura le moins vieilli dans trois ans… Du reste, faire des prévisions en nombre d’années n’est pas raisonnable lorsqu’il est question de téléphones intelligents. Néanmoins, à n’en pas douter, le Nexus S sera encore un téléphone attrayant dans trois mois.

À propos de ce blogue

DE ZÉRO À UN MILLION est le blogue de Julien Brault, qui a fondé la start-up Hardbacon en juin 2016. L’ancien journaliste de Les Affaires relate ici chaque semaine comment il transforme une idée en entreprise. Dans ce blogue, Julien Brault dévoile notamment chaque semaine ses revenus. Une démarche sans précédent qui est cohérente avec les aspirations de Hardbacon, qui vise à aider les gens à investir intelligemment en faisant voler en éclat le tabou de l’argent. Ce blogue sera ainsi alimenté jusqu’à ce que Hardbacon, qui n’avait aucun revenu lors de la publication du premier billet, génère un million de dollars en revenu annuel.

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