Cinq manières de mettre les médias sociaux au service des ressources humaines

Publié le 15/05/2012 à 15:14, mis à jour le 17/05/2012 à 13:44

Cinq manières de mettre les médias sociaux au service des ressources humaines

Publié le 15/05/2012 à 15:14, mis à jour le 17/05/2012 à 13:44

BLOGUE. Dans le cadre de la conférence #140MTL, qui s’est déroulée mardi à Montréal, de nombreux aspects de l’impact des médias sociaux en entreprises ont été abordés. Les médias sociaux sont en train de transformer toutes les fonctions des organisations. Puisqu’en règle générale, on entend surtout parler de l’impact des médias sociaux sur le service à la clientèle, les ventes et le marketing, j’ai cru bon d’exposer ici cinq façons dont les professionnels des ressources humaines peuvent s’approprier les médias sociaux.

1. Mesurer l’humeur des employés

Kathy Mandelstein, directrice des affaires sociales chez IBM, a soutenu que les ressources humaines pouvaient utiliser les médias sociaux pour mesurer leur humeur.

Il ne s’agit pas de faire un sondage pour mesurer la satisfaction des employés, mais bien de mesurer en temps réel leur humeur telle que révélée sur les médias sociaux. Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec le concept d’humeur du public, traduction libre de « public sentiment », il s’agit d’un facteur qu’on mesure généralement grâce à un algorithme, en associant des valeurs négatives, neutres et positives à différents mots.

Souvent mesurée sur les médias sociaux, l’humeur du public permettrait de prédire les grands mouvements de la bourse selon certains chercheurs. Dans un département des ressources humaines, une telle information permettrait de mesurer plus rapidement l’impact de tout changement organisationnel et d’éviter le biais souvent associé aux sondages internes.

À propos de ce blogue

DE ZÉRO À UN MILLION est le blogue de Julien Brault, qui a fondé la start-up Hardbacon en juin 2016. L’ancien journaliste de Les Affaires relate ici chaque semaine comment il transforme une idée en entreprise. Dans ce blogue, Julien Brault dévoile notamment chaque semaine ses revenus. Une démarche sans précédent qui est cohérente avec les aspirations de Hardbacon, qui vise à aider les gens à investir intelligemment en faisant voler en éclat le tabou de l’argent. Ce blogue sera ainsi alimenté jusqu’à ce que Hardbacon, qui n’avait aucun revenu lors de la publication du premier billet, génère un million de dollars en revenu annuel.

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