2- En matière d’éthique et de corruption, il faut revenir à la base. Le conseil n’a pas besoin de rapports volumineux qui noient le poisson. Il a surtout besoin de réponses claires à des questions simples:
-quel est le montant du paiement?
-quel est la nature du paiement?
-dans quel pays est-il fait?
-qui a reçu ce paiement?
-pourquoi paie-t-on cette personne?
3- Un conseil ne peut pas plaider l’ingnorance comme défense. Il a la responsabilité et l’autorité de savoir. Mais… il ne peut pas tout savoir. C’est pourquoi il doit user de son autorité pour exiger des comptes, pour recruter des spécialistes et solliciter des avis extérieurs.
4- Les entreprises canadiennes “globales” n’ont pas de conseils “globaux”. Il est temps qu’elles en aient.
5- Si une entreprise et son conseil choisissent de mener des affaires dans un pays à risque, elle doit adapter ses contrôles à la réalité de ce pays.
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Lire ma chronique précédente portant sur GE qui ramène sa production du Mexique au Kentucky.