Jarislowsky: "Les pdg ne sont pas des joueurs de hockey"

Publié le 11/11/2011 à 09:13, mis à jour le 11/11/2011 à 09:13

Jarislowsky: "Les pdg ne sont pas des joueurs de hockey"

Publié le 11/11/2011 à 09:13, mis à jour le 11/11/2011 à 09:13

Par Diane Bérard

Selon Jarislowsky, les pdg ne méritent pas les salaires faramineux des joueurs de hockey. [Photo : LesAffaires.com]

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“Les pdg ne sont pas des mercenaires au Congo ni des joueurs de hockey! Il est temps de ramener leur rémunération à des niveaux adultes et raisonnables.” Stephen Jarislowsky, gestionnaires de fonds, administrateur et actionnaire activiste co-fondateur de la Coalition canadienne pour la bonne gouvernance

“Il faut résister à la tentation de régler les dérapages en créant des processus artificiels tel le “say on pay”. C’est au conseil d’établir la rémunération du pdg.” Robert Parizeau, administrateur de sociétés

Vlan!

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Le premier milite pour que les administrateurs “prennent leur rôle de fiduciaire au sérieux”.

Le second, lui, estime que les administrateurs prennent leur rôle de fiduciaire au sérieux. Il croit aussi que les actionnaires activistes doivent “utiliser leur pouvoir avec discernement et éviter de promouvoir des instruments et procédures qui n’apportent rien à la bonne gouvernance.”

Stephen Jarislowsky et Robert Parizeau ont échangé ce matin dans le cadre du troisième petit déjeuner de la saison de l’Institut des administrateurs de sociétés (IAS).

Le thème: quelles sont les responsabilités du conseil envers les actionnaires activistes?

Leurs réponses empruntent deux chemins différents.

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