Sévère, mais il porte à réfléchir.
Stimuler l’entrepreneurship est en train de devenir une obsession.
C’est la planche de salut des gouvernements, l’espoir des chômeurs, la promesse de lendemains meilleurs.
Et, comme toute mode, elle est victime de son succès.
Faut-il voir grand, comme Start-Up America? Viser concret, comme l’École d’entrepreneurship de la Beauce?
Pour ma part, je crois qu’il faut viser précis. Il n’y a pas un entrepreneurship mais plusieurs entrepreneurships.
Ce qui amène un dilemme : dans un monde de ressources limitées faut-il aider les TTE, qui constituent la majorité des PME, ou les PME à fort potentiel, qui offrent la plus grande occasion de création de richesse?
Qu’en pensez-vous?
Start-Up America vise-t-elle juste?
L’entrepreneurship se porterait-il mieux s’il y avait plus d’entrepreneurs au gouvernement et dans les comités d’études?
Lire ici ma chronique précédente