Et vous : cette histoire d’épargne forcée vous semble-t-elle réaliste?
Et si vous étiez Américain, accepteriez-vous que votre gouvernement s’endette davantage?
En fait, la vraie question est : de quoi les citoyens sont-ils prêts à se passer comme service pour que le gouvernement n’ait pas à relever le plafond de la dette? Jusqu’où se sentent-ils concernés par cette dette et en réalisent-ils le sérieux?
Et les Québécois : entretiennent-ils une pensée magique face à leur retraite comme les Américains face à leur dette?
Entre les deux peuples, qui s’illusionne le plus?
Lire ici ma chronique précédente