L'exposition directe des différentes sociétés immobilières canadiennes à la faillite de Sears est assez bien connue et documentée. Michael Markidis juge qu'il vaut peut-être mieux considérer aussi l'exposition indirecte. L'analyste de Desjardins Marché des capitaux rappelle que, lors du départ de Target, plusieurs propriétaires immobiliers avaient eu de la difficulté à retenir des locataires ou à augmenter les loyers dans des propriétés périphériques. Pour l'instant, Sears doit fermer 50 magasins et éventuellement reprendre son exploitation, mais l'avenir n'est pas clair. M. Markidis a calculé le pourcentage des aires locatives potentiellement touchées dans un rayon de 5 km d'un magasin Sears. En cas de fermeture complète de la chaîne, 50 % du portefeuille de détail de Cominar (CUF.UN, 13,41 $) risque d'être affecté. En considérant le portefeuille total, on tombe cependant à moins de 15 %. Les sociétés les plus à risque sont First Capital Realty (FCR, 19,98 $), RioCan (REI.UN, 23,93 $) et Smart Real Estate Investment (SRU.UN, 29,83 $).
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