Écoconcevoir, une question de survie pour l'industrie

Publié le 29/01/2011 à 00:00, mis à jour le 07/10/2013 à 12:54

Écoconcevoir, une question de survie pour l'industrie

Publié le 29/01/2011 à 00:00, mis à jour le 07/10/2013 à 12:54

" Le développement durable est un bon prétexte pour donner un nouveau souffle à l'industrie de la plasturgie et des matériaux composites du Québec ", estime Pierre Fillion, président-directeur général de la Fédération des plastiques et alliances composites (FEPAC). Il faut dire que les entreprises n'auront bientôt plus le choix, puisque la réglementation est de plus en plus contraignante. L'industrie doit donc se mettre au vert. C'est même une question de survie. " L'environnement est aussi une source réelle d'économies et d'innovations ", souligne-t-il. Le fait de réduire le gaspillage de résine ou d'espace d'entreposage engendre des économies. L'environnement peut même favoriser la réduction des coûts ou l'augmentation de la profitabilité. " Le développement durable est un mouvement planétaire qui est là pour rester, rappelle-t-il. Les donneurs d'ordre sont de plus en plus nombreux à chercher des sous-traitants qui appliquent une politique de développement durable. "

La FEPAC regroupe quelque 300 entreprises, dont 200 au Québec. " Nous représentons seulement les fabricants qui adhèrent au développement durable ", précise M. Fillion. Son défi : faire reconnaître à l'ensemble du secteur que ce principe est porteur, même si peu d'industriels sont passés au vert. " Il faudra 10 ou 15 ans avant que l'industrie québécoise de la plasturgie et des matériaux composites reconnaisse pleinement la valeur des modèles d'affaires respectueux de l'environnement. "

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