«Je suis conquis par le look du Range Rover» - Jean Brouillard, président de Brouillard Communication


Édition du 06 Juin 2015

«Je suis conquis par le look du Range Rover» - Jean Brouillard, président de Brouillard Communication


Édition du 06 Juin 2015

Par Claudine Hébert

[Photo: Francis Vachon]

Pour le président de Brouillard Communication, de Québec, au diable la performance et la tenue de route ! Ce qui allume d'abord ce spécialiste des relations publiques - ainsi que sa femme et sa fille -, ce sont les véhicules qui font tourner les têtes grâce à leurs lignes carrées.

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Les Affaires - Que conduisez-vous ?

Jean Brouillard - J'ai trois véhicules, dont un Range Rover Sport 2010 qui me sert au quotidien. Depuis 10 ans, je suis sous le charme de ce modèle 4 x 4 de luxe britannique. Au départ, c'était pour faire plaisir à ma conjointe et à ma fille, intriguées par ce véhicule en forme de bloc roulant. Il n'y en avait presque pas à Québec. Je me suis fait prendre au piège. Certes, elle est agréable à conduire. Mais je suis surtout conquis par le look carré anti-aérodynamique de la voiture. Et, mea culpa, il y a son petit côté noblesse anglaise qui me plaît beaucoup. La reine Elizabeth a déjà été vue à quelques reprises au volant de cette voiture (rires).

L.A. - La mécanique est-elle fiable ?

J.B. - Range Rover a connu sa part de difficultés au cours des années 1980. Plusieurs amis m'ont d'ailleurs déconseillé d'acheter ce véhicule. J'ai fait à ma tête et je ne le regrette pas. Je suis rendu à mon troisième Range Rover, et jamais je n'ai eu d'ennuis mécaniques majeurs.

L.A. - Quelles sont les deux autres voitures ?

J.B. - J'ai une SAAB décapotable 1992 qui ne sort que l'été pour de courtes balades, notamment entre la maison en ville et le chalet au Mont-Sainte-Anne. Je possède aussi une Fiat 500 aux couleurs de mon entreprise. Lors d'un voyage en famille en Europe il y a quatre ans, ma femme, ma fille et moi avons été conquis par ce modèle. Je me rappelle que, dès la vue d'une première Fiat, on s'est regardés tous les trois avec ce message dans les yeux : on en veut une à la maison.

L.A. - Quel est le gadget qui vous plaît le plus à bord de la Range Rover ?

J.B. - Il y en a plus qu'un. J'aime bien le GPS et la chaîne stéréo. Et je dois avouer que je ne pourrais plus me passer de la fonction caméra de recul. J'apprécie aussi énormément la petite glacière placée entre les deux sièges avant.

L.A. - Quelle était votre première voiture ?

J.B. - C'était en 1980. J'ai troqué ma mobylette pour une Datsun 210. Mes chums et moi l'avions baptisée Datsun 222, parce que je l'avais payée 222 $. Je l'ai gardée un an, on voyait la route au travers du plancher à trois endroits au moins.

L.A. - Que rêvez-vous de conduire un jour ?

J.B. - Les récents modèles de Range Rover ont délaissé leur forme carrée, ça m'embête un peu. J'ai commencé à regarder la Classe G de Mercedes-Benz. Ce serait une folie. C'est un véhicule qui, neuf, vaut plus de 125 000 $. C'est un rêve que je souhaite réaliser. Toutefois, je m'interroge sur l'image que ce type de voiture de luxe peut projeter auprès de mes clients. Cela dit, j'ai 54 ans et je n'ai qu'une vie à vivre. J'ai déjà communiqué avec un courtier automobile, il cherche pour moi une Classe G... usagée.

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