La Banque Royale vise haut aux États-Unis

Publié le 30/03/2010 à 14:25

La Banque Royale vise haut aux États-Unis

Publié le 30/03/2010 à 14:25

Par Stéphane Rolland

Le grand patron de la Banque Royale, Gordon Nixon, vise gros aux États-Unis. Photo : Bloomberg

La Banque Royale (RBC) veut se tailler une place parmi le club select des dix plus importantes banques d’investissement aux États-Unis d’ici trois ans. Actuellement, RBC occupe la quatorzième place.

Pour ce faire, la RBC veut attirer les entreprises valant au moins 10 milliards de dollars, soit cinq fois plus que la taille de ses clients actuels.

La banque canadienne s’aventure ainsi sur le terrain de Goldman Sachs et de la Deutsche Bank, et le combat est loin d’être gagné. «La concurrence sur le marché est très forte et les relations d’affaires comptent pour beaucoup dans le recrutement de la clientèle», a dit Michael Holland, président de Holland & Co, à l’agence de presse Bloomberg.

Un constat qui n’a pas échappé à la RBC qui vient d’embaucher 24 banquiers d’expérience à Wall Street. L’institution canadienne compte 254 banquiers aux États-Unis et prévoient recruter d’autres professionnels.

Selon Bloomberg.

 

À la une

Dette et déficit du fédéral: on respire par le nez!

19/04/2024 | François Normand

ANALYSE. Malgré des chiffres relativement élevés, le Canada affiche le meilleur bilan financier des pays du G7.

Budget fédéral 2024: «c'est peut-être un mal pour un bien»

19/04/2024 | Philippe Leblanc

EXPERT INVITÉ. Les nouvelles règles ne changent pas selon moi l'attrait des actions à long terme.

Multiplier la déduction pour gain en capital, c'est possible?

19/04/2024 | WelcomeSpaces.io

LE COURRIER DE SÉRAFIN. Quelle est l'avantage de cette stratégie?