Bell en faveur d'une concurrence accrue au sein du secteur du sans-fil

Publié le 10/09/2013 à 14:37, mis à jour le 11/10/2013 à 10:15

Bell en faveur d'une concurrence accrue au sein du secteur du sans-fil

Publié le 10/09/2013 à 14:37, mis à jour le 11/10/2013 à 10:15

Par La Presse Canadienne

Les restrictions sur les investissements étrangers devraient être levées dans le cas des grandes entreprises de télécommunications afin de laisser le marché décider du nombre de fournisseurs de services sans fil que le Canada peut soutenir, a estimé le président et chef de la direction de Bell (TSX:BCE), George Cope.

Dans le cadre de la conférence annuelle sur les médias et les télécommunications présentée par BMO, à Toronto, M. Cope a indiqué qu'il n'y avait aucune raison de craindre l'arrivée de concurrents, se disant même en faveur d'une telle chose.

En vertu des règles fédérales en place, les gros joueurs du secteur canadien du sans-fil comme Bell, Telus (TSX:T) et Rogers (TSX:RCI.B) ne peuvent pas appartenir à des intérêts étrangers dans une proportion de plus de 33 pour cent. Il n'existe cependant aucune limite en ce qui a trait aux petites entreprises comptant une part de marché inférieure à 10 pour cent.

Bell, Telus et Rogers ont affirmé à maintes reprises que les restrictions sur les investissements étrangers devraient être levées pour les entreprises canadiennes de télécommunications afin qu'elles puissent avoir accès à davantage de capitaux.

À la une

Sommes-nous en récession depuis 50 ans?

Mis à jour il y a 29 minutes | Philippe Labrecque

EXPERT INVITÉ. Aussi contre-intuitive soit-elle, cette idée est la thèse de Raphaël Rossello, un vétéran de la finance.

Les nouvelles du marché du mardi 16 avril

Mis à jour il y a 36 minutes | Refinitiv

Barrick Gold annonce une baisse de la production préliminaire d'or et de cuivre pour le premier trimestre.

Bourse: ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture mardi 16 avril

Mis à jour à 08:28 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Repli des Bourses mondiales, face à des vents économiques et géopolitiques contraires.