Les chantiers maritimes Davie obtiennent un contrat de 6,5 M$ du fédéral

Publié le 17/04/2014 à 16:03

Les chantiers maritimes Davie obtiennent un contrat de 6,5 M$ du fédéral

Publié le 17/04/2014 à 16:03

Par La Presse Canadienne

Les chantiers maritimes Davie de Lévis, près de Québec, ont obtenu du gouvernement fédéral un contrat de 6,5 millions $ pour les travaux de radoub du brise-glace de la garde côtière NGCC Louis S. St-Laurent.

Les travaux seront effectués par Chantier Davie Canada, un sous-traitant de l'entreprise de services d'ingénierie Babcock Canada, a indiqué jeudi le ministère fédéral des Pêches et Océans.

Ces travaux seront réalisés avant l'affectation du navire dans l'Arctique, où il fournira des services de déglaçage et réalisera d'autres activités, notamment des recherches scientifiques et un soutien en matière de recherche et sauvetage.

Les chantiers maritimes Davie de Lévis sont les plus anciens au Canada, ayant été fondés en 1825. Ils ont eu différents propriétaires au fil des années et ont récemment traversé une période de restructuration.

Depuis la reprise de ses activités sous une nouvelle direction, en 2012, l'entreprise a diversifié sa clientèle, qui inclut désormais les secteurs du transport de passagers, de la défense, du gaz et du pétrole en haute mer, de l'énergie hydroélectrique et nucléaire, et des ressources naturelles, entre autres.

Davie demeure le plus important chantier naval au pays, avec une capacité quatre fois supérieure à celle des autres chantiers, les effectifs les plus nombreux et la plus grande cale sèche.

À la une

À surveiller: Boralex, Alphabet et Bombardier

Que faire avec les titres Boralex, Alphabet et Bombardier? Voici des recommandations d’analystes.

Bourse: le TSX en hausse d’environ 100 points et Wall Street en ordre dispersé

Mis à jour il y a 41 minutes | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Wall Street en ordre dispersé pour terminer une mauvaise semaine.

Bourse: la Banque Royale fait trembler le marché des actions privilégiées

BALADO. La Banque Royale envoie un signal clair qu'elle pourrait racheter toutes ses actions privilégiées.