Lors d'une conférence de presse, M. Gosselin a affirmé que cette situation laissait certains employés devant le choix d'être rétrogradés ou de se chercher un autre emploi, ce qu'il associe à un congédiement illégal.
M. Gosselin a indiqué que neuf des 15 employés de la succursale se sont prononcés en faveur d'une demande d'accrédition syndicale, qui a été déposée lundi à la commission des relations de travail.
En plus de faire d'eux les premiers syndiqués de Starbucks au Québec, cette demande pourrait aussi permettre aux International Workers of the World, un syndicat implanté surtout aux Etats-Unis, de faire une première percée au Canada.