En revanche, les hommes passent 3 heures par jour à préparer les repas, entretenir l’intérieur et l’extérieur de la maison, faire les courses, prendre soin des enfants, etc. C’est un bond par rapport aux 2,1 heures de 1986. L’impression que les Québécois se transforment en «hommes roses» est ainsi vérifiée.
De leur côté, les femmes vivant en couple passent aujourd’hui 3,1 heures au travail, et 4,7 heures aux tâches ménagères. En 1986, le temps passé était respectivement de 2,7 heures et de 4,9 heures.
Là aussi, l’impression que les Québécoises sont devenues des «wonder-women» se vérifie : elles travaillent davantage et oeuvrent tout autant qu’auparavant aux tâches du ménage.