Il a soutenu que le marché immobilier dépendait des taux à long terme et non des taux directeurs, influant à court terme, imposés par la Fed. Selon lui, la bulle immobilière s'est amorcée en 2000, soit un an avant que son administration commence à couper ses taux à court terme.
Alan Greenspan a également affirmé qu'il commençait à voir « les bases d'un fonds » sur le marché immobilier américain qui ne se sont pas encore incarnées dans les prix des maisons sur le marché réel. Selon l'ancien président de la Fed, le prix des maisons est le « talon d'Achilles » de l'économie américaine qui, en dehors de l'immobilier, « se comporte relativement bien par les temps qui courent ».
Il a prédit que les prix des maisons devraient chuter d'encore 5%, si la dégringolade devait se poursuivre au-delà de cette limite on devrait voir la délinquance sur les hypothèques conventionnelles augmenter.
Avec le WSJ