Le Parti Québécois déplore que les études qui ont guidé Hydro-Québec et le gourvernement de Jean Charaest n'aient pas été révélées par le PDG d'Hydro-Québec, Thierry Vandal, et la ministre des Ressources naturelles, Julie Boulet, au moment d'annoncer les investissements de 1,9 milliards de dollars pour restaurer la centrale de Bécancour.
Mme Dionne-Marsolais n'hésite pas à déclarer que cette situation est jugée contraire aux exigences minimales de transparence dans la gouvernance d'une société d'Etat .
Toujours selon la porte-parole péquiste, les Québécois sont tenus dans le noir alors qu'ils sont engagés dans des investissements pour les 32 prochaines années.