À savoir avant de partir – Australie

Publié le 06/05/2010 à 15:48, mis à jour le 29/07/2010 à 13:29

À savoir avant de partir – Australie

Publié le 06/05/2010 à 15:48, mis à jour le 29/07/2010 à 13:29

Les exportations de biens du Québec représentent près de 25 % des exportations canadiennes vers l’Australie, selon le MDEIE. L'Australie se classait au douzième rang de nos clients internationaux en 2006. Vous souhaitez faire des affaires en Australie ? Voici quelques particularités culturelles à connaître avant de partir :

Salutations. Les Australiens communiquent de manière très informelle. Il est toutefois impoli d’accueillir un partenaire d’affaires avec un simple « Good day mate ». Ils préfèrent également être appelés par leur prénom.

Relations. Très directs dans leur approche en affaires, les Australiens n’ont pas besoin de connaître depuis longtemps un partenaire étranger avant de conclure des affaires. Leur humour est également direct et ils utilisent parfois un langage très coloré.

Tenue. L’habillement en milieu d’affaires est assez formel (pantalon, chemise et veston) dans les villes de Melbourne, Sydney et Perth, mais beaucoup plus décontracté dans les autres grandes villes.

Négociation. Les Australiens préfèrent arriver quelques minutes avant la réunion plutôt que d’être en retard. Les réunions doivent être planifiées à l’avance et il faut y arriver bien préparé. Les négociations sont assez rapides, en général.

Note : N’hésitez pas à nous envoyer des idées si vous souhaitez soulever d’autres points ou apporter des précisions.

PLUS : Lire les textes sur l'Australie

À la une

Repreneuriat: des employés au rendez-vous

Il y a 36 minutes | Emmanuel Martinez

REPRENEURIAT. Le taux de survie des coopératives est bien meilleur que celui des entreprises privées.

La hausse de l'impôt sur le gain en capital rapporterait 1G$, selon Girard

Il y a 35 minutes | La Presse Canadienne

C’est ce qu’a indiqué le ministre des Finances, Eric Girard, mardi en commission parlementaire.

Gains en capital: l'AMC demande au gouvernement de reconsidérer les changements

L’augmentation du taux d’inclusion s’appliquerait aux gains en capital supérieurs à 250 000 $ pour les particuliers.