Le ministre conservateur a défendu ce que les chefs des autres partis fédéraux ont qualifié d'attitude de laisser-faire, soutenant que la stabilité et la solidité de l'économie canadienne vont permettre au pays d'éviter une crise financière.
En dépit des critiques entendues aux débats de mercredi et jeudi, M. Flaherty a affirmé qu'aucune mesure précipitée n'est nécessaire.
Le ministre s'est dit favorable au plan de sauvetage de 700 milliards $ aux Etats-Unis, un plan nécessaire, selon lui, après plusieurs années de gestes inadéquats sur le plan de la fiscalité.