Le programme intitulé de «partage de travail» entrera en vigueur le 1er avril pour une durée d’un an. Il a été conclu en accord avec les syndicats des deux usines du constructeur automobile japonais en Grande-Bretagne.
L’ojectif est, selon le communiqué de Toyota, «de préserver les emplois durant toute la période difficile» que traverse la filiale britannique.
Avec Reuters.