Connie Maneaty, de BMO Marchés des capitaux, ne recommande plus l'achat du titre de Colgate-Palmolive, en raison de l'impact qu'aurait une dévaluation du bolivar vénézuélien sur les résultats du géant américain. Colgate réalise 6 % de ses revenus au Venezuela, pays qui pourrait dissocier sa monnaie du dollar américain après les élections de septembre 2010, afin d'endiguer l'inflation galopante de 26 % qui sévit dans le pays.