Essai routier: Toyota Yaris 2015

Offert par Les Affaires


Édition du 13 Septembre 2014

Essai routier: Toyota Yaris 2015

Offert par Les Affaires


Édition du 13 Septembre 2014

C'est au Québec que Toyota vend 60 % de ses Yaris canadiennes. Et la petite sous-compacte est le troisième modèle le plus vendu de la marque au pays. C'est dire combien le marché québécois est incontournable pour Toyota. Et quand on redessine une Yaris, il ne faut pas faire de faux pas, au risque de déplaire.

La nouvelle Yaris n'affiche pas de changements spectaculaires, sauf sur le plan de l'aspect physique. La calandre est plus imposante, et la grille, qui s'étire sous le pare-choc ressemble à une moustache. Moustache dont la couleur varie selon la version choisie, allant du noir au chrome.

Autre changement notable, la SE, la version plus luxueuse, est dotée désormais de phares antibrouillards et de blocs optiques à DEL. La LE, version de milieu de gamme qui connaîtra probablement le plus grand succès commercial, et la CE de base ne profitent pas de cette amélioration, et se contentent de feux traditionnels.

L'habitacle a lui aussi subi quelques transformations. Une fois de plus, rien de majeur, mais quelques retouches subtiles, notamment l'ajout d'un écran de 13 centimètres qui trône désormais au milieu de la planche de bord. Par ailleurs, on a échangé les plastiques durs traditionnels utilisés pour l'assemblage par des plastiques mous, et la finition est nettement améliorée.

Sur le plan mécaniquement, rien de nouveau. On s'en tient toujours au moteur quatre cylindres 1,5 litre qui développe ses 106 chevaux avec une certaine retenue. Et comme toujours, une boîte manuelle cinq vitesses ou une boîte automatique dotée de quatre rapports.

Comme tous les amateurs, je me suis beaucoup questionné sur cette boîte automatique d'une autre époque. Chez Toyota, on nous a affirmé que la différence de consommation entre cette boîte et une cinq vitesses est si minime qu'elle ne vaut pas le coût d'implantation. On se doit donc de les croire sur parole.

Sur la route, on ne note pas de grands changements. La boîte de vitesse répond avec aisance, même si la transmission manuelle donne parfois l'impression d'être de guimauve. L'accélération est digne de la Yaris, en plus silencieuse : on a beaucoup amélioré l'insonorisation de l'habitacle.

Suspensions correctes (évidemment, les virages appuyés provoquent un roulis, ce qui est normal dans une sous-compacte), direction précise et freinage facile à anticiper, la Yaris se conduit avec un certain agrément, même si elle ne procure pas de grands frissons. Son rayon de braquage est excellent. La Yaris a tout de la voiture urbaine et tire son épingle du jeu dans toutes les conditions.

Disponibilité : dès maintenant

Prix : De 17 760 $ à 20 880 $

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