L'ÉTS a 40 ans: 10 dates à retenir

Offert par Les Affaires


Édition du 13 Septembre 2014

L'ÉTS a 40 ans: 10 dates à retenir

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Édition du 13 Septembre 2014

Depuis sa naissance en 1974, l’École de technologie supérieure (ÉTS) a su faire sa place tant dans la formation des ingénieurs québécois – elle forme un ingénieur sur quatre au Québec ! – que dans la recherche appliquée. Renforcer les partenariats avec l’industrie, favoriser l’innovation et la création d’entreprises est le plan de match du nouveau directeur général, Pierre Dumouchel. Voici 10 dates à retenir dans l'histoire de l'ÉTS.

Roland A. Dugré, le premier directeur général de l’ÉTS, lors de l’inauguration de l’École, le 20 janvier 1975.

6 mars 1974

Création de l'École de technologie supérieure (ÉTS). Le premier directeur général est Roland A. Dugré. L'École, créée dans le giron de l'UQAM, part de deux constats : les ingénieurs francophones sont encore en nombre insuffisant et il manque, entre l'ingénieur et le technicien, un ingénieur technicien que l'ÉTS se donne la mission de former avec le soutien du milieu industriel.

1977

Début officiel du débat sur le statut professionnel des diplômés de l'ÉTS, auxquels l'Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) refuse catégoriquement de reconnaître le statut d'ingénieur. Les premiers étudiants sortent donc de l'École avec un diplôme qui ne donne droit à aucun titre professionnel leur permettant d'accéder à l'exercice d'une profession. Très rapidement, le gouvernement s'empare de la question.

1986

Alors que la situation semble bloquée quant au titre d'ingénieur et que les discussions avec l'OIQ sont dans l'impasse, le nouveau directeur général, Alain Soucy, décide de s'aligner sur les programmes universitaires et fait passer le nombre de crédits nécessaires à l'obtention du bac en technologie de 72 à 90 crédits.

Remise du 1 000e diplôme lors de la collation des grades du 30 octobre 1987.

1987

L'ÉTS fête son 1 000e diplômé.

1989

Au bout de longues années, un accord intervient enfin, et le titre d'ingénieur est validé par l'OIQ pour les diplômés de l'ÉTS après que le nombre de crédits pour le bac est passé à 105 crédits. La formation de l'ÉTS est aussi reconnue par le Bureau canadien d'accréditation des programmes d'ingénierie en 1990.

1988-2002

L'ÉTS prend son envol. Le problème fondamental de la reconnaissance professionnelle des diplômés étant réglé, le directeur général, Robert Papineau, pourra développer l'École dans un climat plus serein. Durant son mandat, les formations aux cycles supérieurs sont ouvertes, l'École s'installe définitivement dans Griffintown grâce à un projet immobilier d'envergure, qui comprend notamment la construction de résidences universitaires. Par ailleurs, l'accent est mis sur la recherche, l'entrepreneuriat est encouragé et soutenu. C'est aussi la période de l'essor des clubs scientifiques qui fondent en partie la réputation nationale et internationale de l'École.

Février 1997

Inauguration du bâtiment principal du nouveau campus, rue Notre-Dame Ouest.

2004

Ouverture du nouveau pavillon - le B - au 1111 de la rue Notre-Dame Ouest. Les effectifs de l'École sont de 3 800 étudiants.

2013

> Inauguration du carrefour d'innovation Ingo

> Acquisition du Planétarium : la Ville de Montréal cède à titre gratuit le Planétarium Dow à l'ÉTS contre l'engagement de l'École à y investir, d'ici trois ans, une somme minimale de 5 millions de dollars et à maximiser le verdissement du site en convertissant le stationnement en parc.

> Lancement du Quartier de l'innovation

> Création de l'École de l'innovation citoyenne

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