Se financer en temps de vaches maigres

Offert par Les Affaires


Édition du 25 Avril 2015

Se financer en temps de vaches maigres

Offert par Les Affaires


Édition du 25 Avril 2015

Ces ententes sont clairement à l'avantage des investisseurs : elles leur permettent d'investir dans une matière première sans s'exposer aux risques liés aux dépassements de coût ou à l'allocation du capital.

André Gaumont, président et chef de direction de Mines Virginia, en sait quelque chose. L'acquisition de sa société par Redevances aurifères Osisko - conclue en février - a donné naissance à la quatrième société de redevances en importance de l'Amérique du Nord, d'une valeur de 1,4 G$. Grâce à ses redevances de 5 % sur Canadian Malartic et de 2,2 % sur Élénore, le nouveau géant québécois prévoit acheter et générer de nouvelles redevances, en développant et vendant ses propres projets, entre autres.

«Le fait que les marchés soient difficiles contribue à bien nous positionner», souligne M. Gaumont.

Cliquez ici pour consulter le dossier «Industrie minière: Cap sur de nouvelles filières»

À la une

Il faut concentrer les investissements en R-D, dit le Conseil de l’innovation du Québec

Il y a 51 minutes | Emmanuel Martinez

L’État devrait davantage concentrer les investissements en R-D dans certains secteurs, selon le Conseil de l’innovation.

1T: Meta dépasse les attentes avec 12,4G$US de profits

16:31 | AFP

Le marché est enthousiasmé par les perspectives du groupe américain dans l'IA.

1T: Rogers annonce une chute de 50% de son bénéfice

Mis à jour à 13:45 | La Presse Canadienne

L'entreprise a dû faire face à des coûts plus élevés liés à ses efforts d'acquisition et de restructuration de Shaw.