En voiture avec: François Dumontier, président du Grand Prix de F-1 de Montréal


Édition du 15 Février 2014

En voiture avec: François Dumontier, président du Grand Prix de F-1 de Montréal


Édition du 15 Février 2014

Par Claudine Hébert

«Je change d'auto deux fois par an» - François Dumontier, président du Grand Prix de F-1 de Montréal et passionné de voitures

François Dumontier, président du Grand Prix de F-1 de Montréal et passionné de voitures. L'homme d'affaires les aime tellement qu'il change de modèle deux fois par année.

Les affaires - Que conduisez-vous actuellement ?

François Dumontier - Pendant la saison hivernale, je roule en Mercedes-Benz ML550. J'adore ce modèle utilitaire sport doté de quatre roues motrices. Avec ce dernier, pas de danger de rester pris dans la neige. C'est parfait pour me rendre à ma résidence secondaire dans le secteur de Saint-Sauveur.

L.A. - Pourquoi un utilitaire Mercedes et pas d'un autre constructeur?

F.D. - Je dois préciser que Mercedes-Benz est l'un des commanditaires officiels du Grand Prix de Montréal. Ce qui me donne le privilège de conduire les voitures de ce constructeur allemand et de changer de modèle tous les six mois. Cela dit, avant même d'être nommé à la tête du Grand Prix de Montréal, j'étais un admirateur de Mercedes. Je conduisais déjà une GLK 350. Après avoir longuement hésité entre les modèles à quatre roues motrices Audi et ceux de Mercedes, j'avais finalement opté pour les lignes, le raffinement et la performance du constructeur automobile de Stuttgart.

L.A. - Est-ce qu'il y a un gadget à bord qui vous fait vibrer?

F.D. - Avec l'hiver que l'on connaît cette année, j'apprécie la fonction du volant chauffant. Je m'en sers presque tous les jours.

L.A. - Quelle a été votre toute première voiture ?

F.D. - Il s'agissait d'une Renault 5 1981 de couleur orange. Elle valait 500 $. L'intérieur de la carrosserie ne disposait plus d'aucun capitonnage. C'était à l'époque de mes études. Je l'ai conservée pendant deux ans.

L.A. - Qu'allez-vous conduire cet été pour le Grand Prix ?

F.D. - Je l'ignore encore. L'an dernier, j'avais entre les mains le modèle E550, une berline avec une conduite sportive. Mais il se pourrait bien que cet été mon coeur penche pour un modèle AMG, une voiture encore plus performante. Et elle sera assurément noire, j'aime cette couleur pour une voiture.

L.A. - Quels sont les endroits où vous aimez conduire ?

F.D. - Au Québec, j'ai un faible pour la route de la vallée de la Matapédia, que j'ai l'occasion d'emprunter pour aller à la pêche au saumon sur la rivière Cascapédia. La route 132 qui borde le fleuve au nord de la péninsule gaspésienne est tout aussi envoûtante. Dans l'Ouest canadien, la route entre Vancouver et Whistler, surtout depuis qu'elle a été élargie pour les Jeux d'hiver de 2010, figure aussi parmi les plus belles routes de mon palmarès.

L.A. - Et du côté de l'Europe, où le travail vous amène-t-il ?

F.D. - Mes voyages d'affaires en Europe, particulièrement en Italie, me permettent d'emprunter des routes mythiques. Celle de Milan jusqu'à Monza, en passant par le lac de Côme, est bordée de paysages inoubliables. Il s'agit d'un des plus beaux parcours que j'aie effectués dans ma vie. Mais je dois admettre que, la plupart du temps, j'essaie de ne pas conduire sur le vieux continent. Surtout en Grande-Bretagne, où l'on conduit à gauche.

L.A. - Quel modèle rêvez-vous de conduire un jour?

F.D. - J'aimerais effectuer quelques tours de piste en F-1. J'ai eu l'occasion par le passé de piloter des modèles F-1600 et F-2000. Mais jamais de F-1. J'y ai seulement pris place sans jamais sortir du garage. La plus récente création du mythique fabricant italien Ferrari, LaFerrari, également appelé la F70, m'intéresse aussi. Cette voiture de 963 chevaux réalisée en 499 exemplaires peut atteindre une vitesse de 400 km/h. Mais je n'ai pas l'intention de l'acheter, elle vaut 1,4 million d'euros. La conduire quelques heures suffirait à mon bonheur.

À la une

À surveiller: Boralex, Alphabet et Bombardier

Il y a 50 minutes | Charles Poulin

Que faire avec les titres Boralex, Alphabet et Bombardier? Voici des recommandations d’analystes.

Bourse: le TSX en hausse d’environ 100 points et Wall Street en ordre dispersé

Mis à jour il y a 14 minutes | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Wall Street en ordre dispersé pour terminer une mauvaise semaine.

Bourse: la Banque Royale fait trembler le marché des actions privilégiées

BALADO. La Banque Royale envoie un signal clair qu'elle pourrait racheter toutes ses actions privilégiées.