1-Les Bourses américaines ont connu de bonnes performances la semaine dernière, le S&P 500 pointant même vers un sommet à la dernière séance. En ce début de semaine chargée en résultats financiers, les investisseurs semblaient encore hésitants.
2-Les indices S&P 500 et Dow Jones avancent respectivement de 0,01% et 0,02%, tandis que le Nasdaq recule 0,05% dans les négociations sur les marchés à terme, à 6h30. Le baril de pétrole Brent, la référence au Québec, cède 0,57% à 45,43$US.
3-Les Bourses chinoises ont fermé lundi sur une faible hausse. Les investisseurs attendent ce qui sortira des réunions de la Réserve fédérale américaine et de la Banque du Japon, qui tiennent cette semaine un votre pour la première fois depuis vote sur le Brexit.
La Bourse de Shanghai a bondi 0,10 %, à 3 015,83 points. À la Bourse de Hong Kong, l'indice Hang Seng a pris 0,13% pour finir à 21 993,44 points.
Au Japon, l’indice Nikkei a terminé la première séance de la semaine sur une faible baisse.
En Europe, à la mi-séance, la plupart des grands indices pointaient vers le haut. À Frankfort, le DAX allemand était en hausse de 0,83%. À Paris, le CAC 40 montait de 0,74% et, enfin, à Londres, le FTSE se maintenait tout juste en territoire positif avec une avancée de 0,07%.
4-Parmi les titres en action, Nintendo a subi une forte correction après que l’entreprise ait averti les investisseurs que la fièvre Pokémon Go allait avoir un impact limité sur ses résultats. À Tokyo, l’action du fabricant de jeux vidéo a plongé de 18%. La baisse aurait pu être plus grave sans l’intervention d’un mécanisme de la Bourse de Tokyo qui limite à 18% la perte sur un titre en une séance. Il faut dire que l’action de Nintendo avait presque doublé ces deniers jours dans la foulée du phénomène Pokémon Go.
Le CN(Tor.,CNR), dévoilera ses résultats financiers après la fermeture des marchés, à 16 heures. Ce sera l’occasion pour le nouveau PDG, Luc Jobin, de partager sa vision avec les analystes. M. Jobin a pris la relève de Claude Mongeau il y a un mois, ce dernier étant incommodé par des problèmes de santé.
L’environnement d’affaires demeure difficile pour les transporteurs ferroviaires. Le taux de chargement des wagons du CN est en baisse, notamment en raison d’une réduction de la production de pétrole.
