Point 10: la maison de Gatsby le Magnifique est en vente. Ça vaut bien un toast de son interprète Leornardo Di Caprio.
Bon vendredi! Voici 10 informations qui méritent votre attention en ce vendredi 22 mai.
1. On revient à la case départ. Ceux qui espéraient terminer l’année plus riches grâce aux économies réalisées à la pompe devront se raviser. Admir Kolaj, un analyste de la Banque TD, calcule que le ménage moyen réduira sa facture de carburant de près de 600$ cette année. Le hic, c’est que la dépréciation du dollar liée à la baisse du pétrole fera en sorte que le prix des biens consommés augmentera de près de 600$, soit le même montant, au fil de l’année.
2. Un ancien conseiller de la Banque du Canada croit que la banque centrale devrait abaisser son taux directeur près de 0% afin de ne pas gâcher la reprise des exportations. David Wolf, analyste de Fidelity et ancien conseiller de Mark Carney, estime que le récent regain du dollar lié à l’amélioration des matières premières fait en sorte d’amenuiser tous les progrès qu’a permis la dépréciation du huard dans les autres secteurs de l’économie. « Je ne serais pas surpris si les taux descendent là où ils sont dans les autres pays développés, soit près de zéro », ajoute-t-il.
3. Les Bourses sont encore marquées par la faible conviction des investisseurs vendredi. Vers 8h30, les contrats à terme sur les indices S&P 500, Dow Jones et Nasdaq sont près de l’équilibre. Le Dow et le Nasdaq avancent de 0,04%, mais le S&P 500 recule de 0,02%. Le prix du baril de pétrole Brent, la référence au Québec, échappe une partie de ses gains de la veille. Il recule de 1% à 65,86$US.
4. Les appuis au Nouveau Parti démocratique (NPD) rebondissent fortement au Québec après l’élection d’un gouvernement néo-démocrate en Alberta, selon un sondage CROP publié par La Presse. Le parti de Thomas Mulcair obtiendrait 42% des voix, loin devant les libéraux à 25%. Cet appui monte à 47% chez les francophones.
5. La Grèce espère trouver une entente «réformes contre liquidités » avec ses créanciers d’ici les dix prochains jours, affirme un porte-parole du gouvernement grec à l’agence de presse Reuters. La Grèce tente de débloquer la somme de 7,2 milliards d’euros en aide internationale, conditionnelle à l’application de certaines réformes.
